L'étude confiée à un groupement algérien

Celle-ci a finalement été confiée à  un groupement de bureaux d'études algériens, a-t-on appris de source proche du dossier. Parmi ces intervenants, figurent des organismes étatiques ayant déjà participé à  divers projets dans le domaine des travaux publics à  travers le territoire national. Rappelons que le projet a été inscrit en 2009 par le ministère des Travaux publics, à  l'instar des autres liaisons autoroutières programmées à  travers le pays.L'étude, qui a bénéficié d'une enveloppe de près de 60 milliards de centimes, vise à  déterminer le tracé routier de l'infrastructure portuaire jusqu'aux portes du Sahara, en passant par les villes de Chlef et de Tissemsilt. D'une longueur de 220 km, la nouvelle voie sera également raccordée à  l'autoroute est-ouest. C'est la direction des travaux publics de Chlef qui a été chargée de la réalisation et du suivi des travaux dont la finalité est la jonction entre cette partie du nord et le sud du pays. Le projet permettra, en outre, de désenclaver la région de l'Ouarsenis, tout en facilitant le mouvement des personnes et des marchandises du littoral vers les Hauts Plateaux et vice-versa. En tout cas, les habitants des wilayas concernées fondent beaucoup d'espoir sur cette pénétrante d'envergure.