-Les syndicats autonomes n'ont pas la tête à la fête
L'heure n'est pas encore à la fête de l'indépendance pour les syndicats autonomes. Ils ont interpellé le président Bouteflika pour intervenir et mettre «un terme aux dépassements et intimidations dont ils font régulièrement l'objet» dans l'exercice de leurs activités. Un énorme recul des libertés syndicales, une dérive dangereuse pour l'exercice du droit syndical et une remise en question du droit de grève sont soulevés par les signataires, notamment de l'Unpef, du SNPSSP, du SNPSP et du Snapest.
-Benbouzid recule au bac et avance au BEM
Samedi dernier, le ministre n'a pas expliqué les raisons de la baisse du taux de réussite au baccalauréat qui est de 58,84% cette année, alors qu'il était de 62,45% l'année dernière. Il s'est en revanche concentré sur le nombre des lauréats avec excellence et l'augmentation des admis au BEM qui a atteint un taux de 72,10% à l'échelle nationale.
-Baisse du prix du pétrole
Les prix du baril baissent. Un constat presque alarmiste de la Banque d'Algérie suivi de mesures qui s'apparentent à un plan de rigueur, annoncées lundi dernier par le ministre des Finances, Karim Djoudi. Il appelle à la prudence dans la gestion des dépenses publiques.
-Bouteflika crée une mini-crise au journal le Monde
A la lecture mercredi de l'entretien du président Bouteflika accordé au journal le Monde, il n'y a eu aucun étonnement dans la mesure où il a toujours favorisé la presse étrangère. L'étonnement est en revanche fort lorsqu'on apprend que la publication de cet entretien a provoqué une mini-crise au sein du prestigieux journal français. La Présidence a, en effet, fait réaliser par une agence de communication un supplément publicitaire de seize pages entièrement dédié à l'Algérie et il a été commercialisé avec l'édition du quotidien le Monde. Une démarche fortement dénoncée.
-Alger refuse l'offre tunisienne
Les citoyens des pays maghrébins, dont les Algériens, peuvent visiter, séjourner et s'installer en Tunisie avec seulement une carte d'identité, selon Abdallah Triki, secrétaire d'Etat tunisien chargé des Affaires maghrébines, arabes et africaines. Alger refuse. Elle a peur de l'application de la réciprocité. Une démarche qui risquerait d'attirer de nombreux Tunisiens sur le marché du travail algérien.
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Posté Le : 06/07/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : El Watan
Source : www.elwatan.com