L'essentiel de la semaine

-Non-lieu pour Mohamed Ziane Hasseni

La cour d’appel de Paris a prononcé, mardi, un non-lieu en faveur du directeur de protocole au ministère des Affaires étrangères, Mohamed Ziane Hasseni, mis en cause dans l’enquête sur l’assassinat à Paris, le 7 avril 1987, de l’avocat et opposant algérien Ali Mecili. Ce dernier a été accusé de «complicité d’assassinat» et placé sous contrôle judiciaire en France. Attentat-suicide à Boumerdès  

Un attentat-suicide a ciblé, mercredi, un convoi de l’Armée nationale populaire à Zemmouri, à 12 km à l’est de la wilaya de Boumerdès. L’attaque a fait deux morts et neuf blessés, dont un enfant de
5 ans. L’attentat a été perpétré à l’aide d’un véhicule léger.

-Un trou d’air à Air Algérie

Le Comité de la sécurité aérienne a publié, en date du 5 juillet 2010, au Journal officiel de l’Union européenne, le compte rendu de sa dernière réunion, où il est traité du «cas» Air Algérie. Menacée d’interdiction de vol, en raison d’un certain nombre de griefs, Air Algérie a jusqu’à début novembre prochain pour se mettre au diapason des normes requises de sécurité par l’Union européenne.

-Incursion terroriste à Aïn Defla

Un septuagénaire a été tué et cinq personnes ont été blessées par balle, dont un policier, mardi soir, suite à une incursion terroriste dans un quartier de la commune d’El Abadia, à l’extrême ouest de la wilaya de Aïn Defla. Les terroristes se sont introduits au centre-ville de la commune d’El Abadia, aux alentours de la mosquée Errahmane qui était pleine de fidèles accomplissant la prière des tarawih.

-La brigade de la BMPJ de Tigzirt attaquée

Une attaque terroriste a ciblé, mercredi, la Brigade mobile de la police judiciaire  (BMPJ) de Tigzirt, à 40 km au nord de Tizi Ouzou. Les assaillants ont lancé, vers 7h, deux roquettes artisanales sur la caserne de la BMPJ. L’attaque n’a fait ni victime ni dégât matériel.

-Des vieilles embarquées par la police

Le rassemblement des familles de disparus, qui devait avoir lieu, lundi à Alger, a été empêché. Les participants à cette action pacifique ont été malmenés, bousculés et maltraités par de nombreux policiers dépêchés sur les lieux pour l’occasion. Des vieilles, dont l’âge dépasse les 70 ans, ont été même embarquées et conduites au commissariat central.