Algérie

L'espoir de grandes annonces étouffé dans l''uf Crise de l'euro



Il n'est pas question pour Angela Merkel de faire de grandes annonces à l'issue de son entretien avec François Hollande, prévu aujourd'hui. Aussi, les rencontres des dirigeants européens cette semaine ne seront pas l'occasion de «grandes décisions» selon Berlin. L'Allemagne a étouffé dans l''uf, lundi, l'espoir de grandes annonces sur la crise de la dette lors de rencontres au sommet prévues cette semaine à Berlin, et lancé un avertissement sans frais à la BCE sur ses projets d'achats d'obligations d'Etat.
Les porte-parole du gouvernement allemand se sont donnés le mot pour faire retomber les attentes avant la visite prévue à Berlin du président français François Hollande, jeudi, et du Premier ministre grec, Antonis Samaras (photo John Kolesidis. Reuters), vendredi. «Il ne faut pas attendre [de ces entretiens, ndlr] que l'on prenne les décisions essentielles», a ainsi déclaré Steffen Seibert. Son homologue du ministère des Finances, Martin Kotthaus, a embrayé en rappelant que Berlin «attendait le rapport de la troïka» avant toute décision sur la Grèce, en particulier sur un éventuel rallongement du délai imparti à Athènes pour ses réformes.
Cette phrase, devenue un leitmotiv à Berlin, signifie que l'Allemagne n'avalisera aucune décision avant que la troïka des bailleurs de fonds (Union européenne, Fonds monétaire international, Banque centrale européenne) n'ait achevé son évaluation des réformes grecques, en septembre. Le dossier grec est particulièrement brûlant pour la chancelière Angela Merkel, officiellement revenue de vacances la semaine dernière mais qui fera réellement sa rentrée européenne jeudi, en recevant François Hollande.
Il n'est pas question pour Angela Merkel de faire de grandes annonces à l'issue de son entretien avec François Hollande, prévu aujourd'hui. Aussi, les rencontres des dirigeants européens cette semaine ne seront pas l'occasion de «grandes décisions» selon Berlin. L'Allemagne a étouffé dans l''uf, lundi, l'espoir de grandes annonces sur la crise de la dette lors de rencontres au sommet prévues cette semaine à Berlin, et lancé un avertissement sans frais à la BCE sur ses projets d'achats d'obligations d'Etat.
Les porte-parole du gouvernement allemand se sont donnés le mot pour faire retomber les attentes avant la visite prévue à Berlin du président français François Hollande, jeudi, et du Premier ministre grec, Antonis Samaras (photo John Kolesidis. Reuters), vendredi. «Il ne faut pas attendre [de ces entretiens, ndlr] que l'on prenne les décisions essentielles», a ainsi déclaré Steffen Seibert. Son homologue du ministère des Finances, Martin Kotthaus, a embrayé en rappelant que Berlin «attendait le rapport de la troïka» avant toute décision sur la Grèce, en particulier sur un éventuel rallongement du délai imparti à Athènes pour ses réformes.
Cette phrase, devenue un leitmotiv à Berlin, signifie que l'Allemagne n'avalisera aucune décision avant que la troïka des bailleurs de fonds (Union européenne, Fonds monétaire international, Banque centrale européenne) n'ait achevé son évaluation des réformes grecques, en septembre. Le dossier grec est particulièrement brûlant pour la chancelière Angela Merkel, officiellement revenue de vacances la semaine dernière mais qui fera réellement sa rentrée européenne jeudi, en recevant François Hollande.


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