La 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a jugé que les journalistes Raphaël Raymond et Damien Degorre, cités comme témoins à l'audience, le 20 mai, avaient fait leur travail en recoupant les informations recueillies à l'issue du match France-Mexique du 17 juin 2010. Le président du tribunal, Joël Boyer, a souligné qu'aucune des parties, à commencer par Anelka lui-même, n'avait contesté la véracité de l'altercation dans les vestiaires à la mi-temps de cette rencontre et la réalité des injures. Il a enfin estimé dans ses attendus que le tribunal n'avait pas à se substituer aux journalistes quant au choix du traitement de l'information, notamment à celui de publier cette information en une, comme le reprochait Anelka qui accusait L'Equipe d'avoir voulu «faire un coup».
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Posté Le : 02/07/2011
Posté par : sofiane
Source : www.elwatan.com