Dimanche, à la suite d'une réunion marathon (huit heures) du bureau fédéral, il a imposé une nouvelle fois son diktat et refusé d'appliquer les décisions du TAS de Lausanne et du Tribunal civil de Sidi M'hamed (banlieue d'Alger), qui lui ont ordonné d'intégrer en dernière instance le Raed Kouba en L1. Les attendus de la réunion du BF n'ont pas été rendus publics et ont été envoyés au ministère de la Jeunesse et des Sports (cette institution est citée pour la première fois dans le traitement de cette affaire) » et ajoute « le président de la FAF doit recevoir, (ndlr, lundi matin), les dirigeants du Raed de Kouba pour leur faire part des dernières décisions du bureau fédéral.Il compte, selon quelques indiscrétions, proposer à Kouba la reprise du championnat en L2 et la faire accéder la saison prochaine en L1. Une décision incongrue qui reflète l'état d'esprit du football national. Un élément nouveau (et peut-être salutaire) s'est invité dans cette affaire qui dure depuis quatre mois. L'intervention du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a demandé l'assainissement du sport de compétition », note le site de l'Equipe. >
Posté Le : 07/10/2008
Posté par : sofiane
Source : www.elwatan.com