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L'Equateur demande à Londres de retirer ses menaces contre Assange WikiLeaks



L'Equateur demande à Londres de retirer ses menaces contre Assange                                    WikiLeaks
Le président équatorien Rafaël Correa a demandé à la Grande-Bretagne de mettre fin à ses menaces d'arrêter Julian Assange qui est réfugié à l'intérieur de l'ambassade d'Equateur à Londres, tout en se disant à nouveau prêt au "dialogue".
"Nous n'espérons pas des excuses, nous ne le demandons pas, mais il faut que la Grande-Bretagne retire l'erreur gravissime commise en menaçant l'Equateur d'éventuellement violer sa mission diplomatique pour arrêter M. Julian Assange", a-t-il dit mardi au cours d'une conférence de presse à Guayaquil (Sud-Ouest).
"Ayant reçu l'asile de la part de l'Etat équatorien, il est sous la protection de l'Etat équatorien et pourra rester indéfiniment dans notre ambassade", a mis en garde M. Correa. "En dépit de cette impertinence, de cette grossière et inacceptable menace, nous restons ouverts au dialogue" pour trouver une solution concernant le fondateur de Wikileaks retranché depuis le 19 juin dans l'ambassade équatorienne à Londres, a cependant assuré M. Correa.
Lundi, le président avait déjà dit que les Equatoriens étaient "toujours ouverts au dialogue avec les gouvernements de Grande-Bretagne et de Suède".
Le président équatorien Rafaël Correa a demandé à la Grande-Bretagne de mettre fin à ses menaces d'arrêter Julian Assange qui est réfugié à l'intérieur de l'ambassade d'Equateur à Londres, tout en se disant à nouveau prêt au "dialogue".
"Nous n'espérons pas des excuses, nous ne le demandons pas, mais il faut que la Grande-Bretagne retire l'erreur gravissime commise en menaçant l'Equateur d'éventuellement violer sa mission diplomatique pour arrêter M. Julian Assange", a-t-il dit mardi au cours d'une conférence de presse à Guayaquil (Sud-Ouest).
"Ayant reçu l'asile de la part de l'Etat équatorien, il est sous la protection de l'Etat équatorien et pourra rester indéfiniment dans notre ambassade", a mis en garde M. Correa. "En dépit de cette impertinence, de cette grossière et inacceptable menace, nous restons ouverts au dialogue" pour trouver une solution concernant le fondateur de Wikileaks retranché depuis le 19 juin dans l'ambassade équatorienne à Londres, a cependant assuré M. Correa.
Lundi, le président avait déjà dit que les Equatoriens étaient "toujours ouverts au dialogue avec les gouvernements de Grande-Bretagne et de Suède".


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