Algérie

L'enfant prodigue 2e partie



L'enfant prodigue 2e partie

Résumé : Ouarda et Ramdane n'ont qu'un enfant : Rabah. Ce jour-là, la nourrice l'emmène faire une promenade.
Ouarda sursaute : ce bruit de moteur, c'est son mari qui revient... Voilà plus d'une heure qu'elle attend le retour de la nourrice avec son fils.
'Mon Dieu, pourquoi ne revient-elle pas '''
Son mari la trouve soucieuse.
- Que se passe-t-il ' Rabah est malade '
- Non, non... la nourrice l'a emmené faire une promenade... et il n'est pas encore rentré ! Pourvu qu'il ne se soit rien passé !
- Que veux-tu qu'il se passe '
- J'ai peur qu'il ne soit arrivé quelque chose à
Rabah...
- Mais non, tu te fais du mouron pour rien ! Je suppose que la nourrice est allée au parc...
- C'est ce qu'elle a dit !
- Pour te tranquilliser, je vais aller à leur rencontre !
- Alors je viens avec toi !
- Si tu veux... tu prendras l'air !
Elle met sa veste et ils sortent tous les deux. Le parc est à une demi-heure de là.
- Je ne les vois pas, dit Ouarda.
- Ils n'ont pas dû quitter le parc !
- Ce n'est pas l'habitude de Nawal de tarder !
- Patience, nous arrivons au parc, tu vas les voir !
Mais on ne le trouve pas au parc. Ramdane en fait le tour.
- Ils ont dû rentrer !
- Nous ne les avons pas rencontrés !
Elle aperçoit un viel homme sur un banc. Elle se dirige aussitôt vers lui.
- Grand-père, vous n'avez pas vu une jeune femme avec un garçonnet blond ' L'enfant porte un costume de marin...
Le vieux hoche la tête.
- Effectivement, je crois avoir vu la jeune femme... elle a dit aux policiers que l'enfant portait un costume de marin !
Ouarda s'écrie :
- Des policiers ' Rabah a eu un accident '
Ramdane accourt.
- Que se passe-t-il '
- Cet homme dit que Nawal a appelé des
policiers !
Elle prend les mains de l'homme.
- Je vous en prie, dites-moi si mon fils est
blessé !
- Je n'ai pas vu le garçonnet...
Ramdane fronce les sourcils.
- Alors, vous nous menez en bateau '
- Moi ' Pas du tout !
Si je n'ai pas vu l'enfant, c'est parce qu'il a été, selon la nourrice, kidnappé !
- Kidnappé ' s'écrie Ouarda, mon Dieu !
(À suivre)
G. B




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