Algérie

L'enfance et la jeunesse au c'ur des préoccupations Programme de coopération entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et l'Unicef



L'enfance et la jeunesse au c'ur des préoccupations Programme de coopération entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et l'Unicef
Les deux parties se sont, une fois de plus, réunies pour donner une nouvelle impulsion à leur partenariat. Un programme qui s'inscrit en droite ligne dans le cadre de la coopération stratégique 2012/2014 entre le gouvernement algérien et le système des Nations unies en Algérie. Selon M. Mohamed Tahmi, ministre de la Jeunesse et des Sports, cette démarche comprend la formation de cadres du secteur et du mouvement associatif sur le thème du droit à la participation des enfants et des adolescents. « Les pouvoirs publics qui ont placé l'enfance et la jeunesse au c'ur des préoccupations, 'uvrent inlassablement à assurer leur protection et épanouissement et adhèrent, plus que jamais, à toute démarche s'inscrivant dans cette vision », a-t-il précisé. Ce programme, qui s'articule, entre autres, autour de la formation de formateurs, d'une stratégie de communication en direction des jeunes ainsi qu'une étude sur la participation des jeunes à l'élaboration, la mise en 'uvre et l'évaluation des programmes des établissements de jeunesse, répond au mieux, selon le ministre, à la démarche visant à établir un véritable partenariat actif avec les jeunes et leurs associations. « Notre action vise en priorité à associer les jeunes dans la définition, la gestion et l'évaluation des programmes d'activités qui leur sont proposés à travers les différents créneaux définis par les projet associatifs de jeunes accompagnés par le ministère en question », a précisé le ministre. Dans ce contexte, il a rappelé que son département a déboursé 15,5 milliards de centimes pour financer les programmes des associations. « Nous appuyons les programmes mis au point par les associations et non pas le financement de l'association en elle-même en vue de l'encourager à être plus créative », a-t-il ajouté. Soit 80 % des projets sont financés par le secteur alors que les 20 % restants doivent être financés par les associations en question. Pour sa part, Thomas Davin, représentant du Fonds des Nations unies pour les enfants en Algérie, a souligné que cette collaboration constitue un nouvel élan dont le mot d'ordre est la participation future des jeunes qui doivent être actifs au sein de la société et qui doivent aussi bénéficier des expériences. « La mise en 'uvre de ce programme vise à mutualiser les moyens et les sources dégagées en direction des jeunes en assurant une communication de proximité pour une plus grande visibilité et pour répondre aussi aux attentes mutuelles », a-t-il noté.


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