Algérie

L'élysée précise la mission de Benjamin stora



Le président français Emmanuel Macron a reçu vendredi, l'historien Benjamin Stora, et lui a confié officiellement une "mission sur la colonisation et la guerre d'Algérie". L'annonce a été faite par l'Elysée en précisant que l'objectif de ce travail est de favoriser « la réconciliation" entre les deux peuples, algérien et français.Le président français Emmanuel Macron a reçu vendredi, l'historien Benjamin Stora, et lui a confié officiellement une "mission sur la colonisation et la guerre d'Algérie". L'annonce a été faite par l'Elysée en précisant que l'objectif de ce travail est de favoriser « la réconciliation" entre les deux peuples, algérien et français.
"M. Stora doit rendre son travail avant la fin de l'année, et sa mission « permettra de dresser un état des lieux juste et précis du cheminaccompli en France sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie, ainsi que du regard porté sur ces enjeux de part et d'autre de la Méditerranée", a précisé la Présidence française. La désignation de Benjamin Stora pour cette mission, intervient moins d'une semaine après l'annonce par le président Abdelmadjid Tebboune de la nomination du directeur des Archives nationales Abdelmadjid Chikhi, comme le représentant de l'Algérie dans la Commission mémorielle algéro-française.
La mission de M. Chikhi est de mener le travail en cours avec "l'Etat français, représenté par Benjamin Stora", sur les dossiers relatifs à la mémoire et à la récupération desarchives nationales, selon l'agence officielle. Toutefois, l'historien Benjamin Stora a précisé avant-hier dans un entretien à RFI, qu'il "n'est pas le représentant de l'Etat français". Il admet qu'on ne peut jamais définitivement réconcilier des mémoires, et plaide pour une "relative paix des mémoires pour précisément affronter les défis de l'avenir" et "ne pas rester prisonniers tout le temps du passé". "L'Algérie et la France ont besoin l'une de l'autre", ajoute Benjamin Stora.Le président français Emmanuel Macron a
reçu vendredi, l'historien Benjamin Stora, et lui a confié officiellement une "mission sur
la colonisation et la guerre d'Algérie".
L'annonce a été faite par l'Elysée en précisant que l'objectif de ce travail est de favoriser « la réconciliation" entre les deux peuples, algérien et français. "M. Stora doit rendre son travail avant la fin de l'année, et sa mission « permettra de dresser un état des lieux juste et précis du chemin accompli en France sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie, ainsi que du regard porté sur ces enjeux de par et d'autre de la Méditerranée", a précisé la Présidence française. La désignation de Benjamin Stora pour cette mission, intervient moins d'une semaine après l'annonce par le président Abdelmadjid Tebboune de la nomination du directeur des Archives nationales Abdelmadjid Chikhi, comme le représentant de l'Algérie dans la Commission mémorielle algéro-française.
La mission de M. Chikhi est de mener le travail en cours avec "l'Etat français, représenté par Benjamin Stora", sur les dossiers relatifs à la mémoire et à la récupération des archives nationales, selon l'agence officielle. Toutefois, l'historien Benjamin Stora a précisé avant-hier dans un entretien à RFI, qu'il "n'est pas le représentant de l'Etat français". Il admet qu'on ne peut jamais définitivement réconcilier des mémoires, et plaide pour une "relative paix des mémoires pour précisément affronter les défis de l'avenir" et "ne pas rester prisonniers tout le temps du passé". "L'Algérie et la France ont besoin l'une de l'autre", ajoute Benjamin Stora.
"M. Stora doit rendre son travail avant la fin de l'année, et sa mission « permettra de dresser un état des lieux juste et précis du cheminaccompli en France sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie, ainsi que du regard porté sur ces enjeux de part et d'autre de la Méditerranée", a précisé la Présidence française. La désignation de Benjamin Stora pour cette mission, intervient moins d'une semaine après l'annonce par le président Abdelmadjid Tebboune de la nomination du directeur des Archives nationales Abdelmadjid Chikhi, comme le représentant de l'Algérie dans la Commission mémorielle algéro-française.
La mission de M. Chikhi est de mener le travail en cours avec "l'Etat français, représenté par Benjamin Stora", sur les dossiers relatifs à la mémoire et à la récupération desarchives nationales, selon l'agence officielle. Toutefois, l'historien Benjamin Stora a précisé avant-hier dans un entretien à RFI, qu'il "n'est pas le représentant de l'Etat français". Il admet qu'on ne peut jamais définitivement réconcilier des mémoires, et plaide pour une "relative paix des mémoires pour précisément affronter les défis de l'avenir" et "ne pas rester prisonniers tout le temps du passé". "L'Algérie et la France ont besoin l'une de l'autre", ajoute Benjamin Stora.Le président français Emmanuel Macron a
reçu vendredi, l'historien Benjamin Stora, et lui a confié officiellement une "mission sur
la colonisation et la guerre d'Algérie".
L'annonce a été faite par l'Elysée en précisant que l'objectif de ce travail est de favoriser « la réconciliation" entre les deux peuples, algérien et français. "M. Stora doit rendre son travail avant la fin de l'année, et sa mission « permettra de dresser un état des lieux juste et précis du chemin accompli en France sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie, ainsi que du regard porté sur ces enjeux de par et d'autre de la Méditerranée", a précisé la Présidence française. La désignation de Benjamin Stora pour cette mission, intervient moins d'une semaine après l'annonce par le président Abdelmadjid Tebboune de la nomination du directeur des Archives nationales Abdelmadjid Chikhi, comme le représentant de l'Algérie dans la Commission mémorielle algéro-française.
La mission de M. Chikhi est de mener le travail en cours avec "l'Etat français, représenté par Benjamin Stora", sur les dossiers relatifs à la mémoire et à la récupération des archives nationales, selon l'agence officielle. Toutefois, l'historien Benjamin Stora a précisé avant-hier dans un entretien à RFI, qu'il "n'est pas le représentant de l'Etat français". Il admet qu'on ne peut jamais définitivement réconcilier des mémoires, et plaide pour une "relative paix des mémoires pour précisément affronter les défis de l'avenir" et "ne pas rester prisonniers tout le temps du passé". "L'Algérie et la France ont besoin l'une de l'autre", ajoute Benjamin Stora.


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