L'efficacité d'une stratégie Baisse du trafic de carburant

Le trafic du carburant à la frontière Ouest du pays est tenu en échec par les autorités publiques. Le plan concocté début juillet pour mettre en état de nuire les « halabas » et autres contrebandiers du carburant fonctionne efficacement.Le trafic du carburant à la frontière Ouest du pays est tenu en échec par les autorités publiques. Le plan concocté début juillet pour mettre en état de nuire les « halabas » et autres contrebandiers du carburant fonctionne efficacement.
Les mesures drastiques contre le trafic du carburant au niveau de la frontière Ouest donnent visiblement des résultats. Un dernier bilan des services de douane à Tlemcen parle de saisie du 1er janvier au 21 août dernier de 115.930 litres de carburant. Une quantité importante qui renseigne sur l'ampleur du trafic du précieux gas-oil qui acheminé à travers les milliers de halabas dont leur nombre avoisinait auparavant entre 7000 et 10.000.
Les autorités locales qui ont commencé à serrer les vis en multipliant les points de contrôle de la gendarmerie et de la DGSN ont livré une bataille à l'endroit des trafiquants qui tentaient d'écouler des milliers de litres vers le Maroc.
Depuis le 4 juillet dernier, les mesures prises par le wali de Tlemcen en limitant la consommation du carburant à 500 DA pour les automobilistes et 2000 DA pour les camionneurs semblent connaître selon des responsables de la Douane et des services de sécurité sur place une baisse de ce trafic frauduleux qui est vu comme une «saignée pour l'économie nationale».
Au point où le préjudice avait atteint des proportions graves, le ministre de l'Intérieur considérait que «25% de la production du carburant était gaspillée et transportée illégalement». Plus tard, le constat de Daho Ould Kablia était différent. Il avait rappelé le 15 août dernier à Jijel où il avait déclaré que « le trafic de carburant a baissé de moitié » laissant entrevoir que les opérations déclenchées à l'encontre des halabas a donné des résultats plus au moins appréciables.
Pour leur part, les 56 stations de services de la wilaya de Tlemcen appliquent rigoureusement les directives des autorités. Au niveau des frontières, une source concordante affirme que «56 postes frontaliers sont en cours de réalisation pour assurer la sécurité au niveau de la frontière avec le Maroc». On annonce du coup que «vers la mi-septembre, la situation va pouvoir s'améliorer dans le fonctionnement des stations-service où la fluidité est attendue».
Il faut savoir selon des informations en provenance des wilayas avoisinantes de Tlemcen comme Sidi Bel Abbès et Ain Témouchent, les files d'attente se multiplient quotidiennement devant les stations d'essence. La tension que subissent les automobilistes n'est pas due au manque de carburant selon des gérants de station d'essence mais « à faire respecter les consignes sur les quotas définis » pour juguler le trafic.
Pour sa part, Naftal a démenti récemment une rupture de stock dans cette partie du pays, assurant que « les approvisionnements vont continuer grâce à l'extension des capacités de la raffinerie qui vont permettre de mettre plus de moyens pour la couverture en volume du carburant ».
L'Etat va mettre donc les bouchées doubles pour augmenter les capacités de raffinage au niveau national sans compter celle des nouvelles unités qui vont être opérationnelles d'ici 2017.
Les mesures drastiques contre le trafic du carburant au niveau de la frontière Ouest donnent visiblement des résultats. Un dernier bilan des services de douane à Tlemcen parle de saisie du 1er janvier au 21 août dernier de 115.930 litres de carburant. Une quantité importante qui renseigne sur l'ampleur du trafic du précieux gas-oil qui acheminé à travers les milliers de halabas dont leur nombre avoisinait auparavant entre 7000 et 10.000.
Les autorités locales qui ont commencé à serrer les vis en multipliant les points de contrôle de la gendarmerie et de la DGSN ont livré une bataille à l'endroit des trafiquants qui tentaient d'écouler des milliers de litres vers le Maroc.
Depuis le 4 juillet dernier, les mesures prises par le wali de Tlemcen en limitant la consommation du carburant à 500 DA pour les automobilistes et 2000 DA pour les camionneurs semblent connaître selon des responsables de la Douane et des services de sécurité sur place une baisse de ce trafic frauduleux qui est vu comme une «saignée pour l'économie nationale».
Au point où le préjudice avait atteint des proportions graves, le ministre de l'Intérieur considérait que «25% de la production du carburant était gaspillée et transportée illégalement». Plus tard, le constat de Daho Ould Kablia était différent. Il avait rappelé le 15 août dernier à Jijel où il avait déclaré que « le trafic de carburant a baissé de moitié » laissant entrevoir que les opérations déclenchées à l'encontre des halabas a donné des résultats plus au moins appréciables.
Pour leur part, les 56 stations de services de la wilaya de Tlemcen appliquent rigoureusement les directives des autorités. Au niveau des frontières, une source concordante affirme que «56 postes frontaliers sont en cours de réalisation pour assurer la sécurité au niveau de la frontière avec le Maroc». On annonce du coup que «vers la mi-septembre, la situation va pouvoir s'améliorer dans le fonctionnement des stations-service où la fluidité est attendue».
Il faut savoir selon des informations en provenance des wilayas avoisinantes de Tlemcen comme Sidi Bel Abbès et Ain Témouchent, les files d'attente se multiplient quotidiennement devant les stations d'essence. La tension que subissent les automobilistes n'est pas due au manque de carburant selon des gérants de station d'essence mais « à faire respecter les consignes sur les quotas définis » pour juguler le trafic.
Pour sa part, Naftal a démenti récemment une rupture de stock dans cette partie du pays, assurant que « les approvisionnements vont continuer grâce à l'extension des capacités de la raffinerie qui vont permettre de mettre plus de moyens pour la couverture en volume du carburant ».
L'Etat va mettre donc les bouchées doubles pour augmenter les capacités de raffinage au niveau national sans compter celle des nouvelles unités qui vont être opérationnelles d'ici 2017.