Résumé
En 1946, muni de son Rolleiflex, Dib, tout jeune, photographie sa ville natale Tlemcen. En 1994, il publie son livre Tlemcen ou les lieux d’écriture, un texte empreint de nostalgie et d’amour pour sa ville et pour son pays. Ses photos y côtoient ses textes anciens dans une biblio personnelle. Le lecteur se trouve entre un présent et un passé appelé sémiologiquement de deux procédés différents, mais complémentaires ; l’image et le texte. Dans cet article, nous nous proposons d’étudier comment la photographie s’est installée dans l’œuvre de Dib et comment elle se trouve au centre de son intérêt littéraire et nostalgique à la fois. Puis, nous verrons comment l’intertexte, devenu autotexte, est un moyen de vivre la nostalgie.
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Posté Le : 27/01/2017
Posté par : litteraturealgerie
Ecrit par : Abdelaziz AMRAOUI Université Cadi Ayyad Marrackech (Maroc)
Source : https://revistas.ucm.es/