L'éclairage public, en dépit des multiples doléances des habitants qui ne savent à quel saint saint se vouer, fait cruellement défaut. En effet, durant le mois de jeûne, les gens sortent après le ftour pour se rendre à la mosquée, se promener, veiller tard, effectuer des visites familiales et amicales, se distraire et ce sont les enfants qui saisissent cette aubaine pour investir les rues et s'adonner à leurs jeux favoris. Les élus de la ville ne se sont pas penchés sur le volet éclairage public de nombreuses cités où les autochtones s'estiment marginalisés, voire oubliés.Dans ce contexte, des citoyens résidant aux cités Gahdour, Champ de manoeuvre, La Maouna, Bel Air et 8-Mars se sont rapprochés de Liberté pour exprimer leurs légitimes préoccupations : "Dès la tombée de la nuit, nos rues sont plongées dans le noir total car des ampoules grillées des lampadaires n'ont pas été remplacées depuis des années ! En dépit de notre bonne volonté, il nous est impossible de nous impliquer afin de remédier à ces défaillances de notre municipalité. Nous saisissons cette opportunité pour interpeller les élus locaux qui doivent dépêcher les camions-nacelles et les électriciens car le Ramadhan vient de débuter !".
HAMID BAALI
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Posté Le : 08/05/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : BAALI Hamid
Source : www.liberte-algerie.com