L'Association des producteurs algériens de boissons (APAB), qui regroupe aussi bien les producteurs de sodas ou d'eaux minérales que de boissons alcoolisées, a vivement réagi à la dernière loi de finances de 2009, avançant des problématiques de pénurie d'inputs, d'approvisionnements, de procédures administratives alourdies, de surcoûts financiers par le mode de paiement imposé et d'augmentation des prix en fin de circuit. Sans remettre en cause les décisions de l'Etat, l'association avertit les pouvoirs publics qu'il faudra mesurer l'aspect économique de ces nouvelles lois. Et de se demander, par exemple, pourquoi les eaux embouteillées doivent s'acquitter de 15,93% de taxes, alors que pour ne donner que quelques éléments de comparaison, l'Egypte en est à 0,8% et la Jordanie à 0,12%. Les Algériens boivent algérien, même si le gouvernement ne les y aide pas vraiment. Que boit Ahmed Ouyahia '
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Posté Le : 26/02/2010
Posté par : sofiane
Source : www.elwatan.com