Dans certaines quartiers du chef-lieu de Relizane, les robinets s'arrêtent de couler au bout de quatre à six heures tout au plus, pour une eau qui reste toujours opaque, et que la plupart n'utilise plus comme boisson, étant donné son goût amer.Il n'est plus nécessaire de poser la question à l'ADE, la réponse sera que le goût provient de la prolifération des algues dans le fond du barrage, dont le niveau baisse avec les dernières précipitations abattues sur la région de Relizane. Un phénomène subi depuis plusieurs années, même si des mesures ont été prises par l'ADE pour améliorer un tant soit peu le goût de l'eau, qui demeure toujours imbuvable, au point où les mauvaises langues parlent de la pression de lobbys des eaux minérales. Une éventualité qui fait sourire les gens de l'ADE, mais qui montre combien ce problème de l'eau, source de vie, pourrit la vie des habitants. De leur côté, les nombreux chercheurs de l'université surtout ceux versés dans le domaine de l'économie environnementale, se plaignent que les institutions étatiques ne leur soumettent pas de projets de recherche, et, dans certains cas «préfèrent faire appel aux étrangers, payant en devises les factures, alors que nous sommes là, avec les mêmes compétences, et parfois meilleures. Notre travail sera d'autant meilleur qu'il s'agit de notre pays, et que nous ne ménagerons aucun effort pour mener à bien notre mission».
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Posté Le : 15/02/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : N Malik
Source : www.lnr-dz.com