Algérie - A la une

L'aventure électorale commence



L'aventure électorale commence
Assurer la transparence d'un scrutin reste visiblement sur le qui-vive. Les autorités sont conscientes que toute dérive, bourrage des urnes sont contreproductifs et peuvent ouvrir la voie à une crise sans précédent.Assurer la transparence d'un scrutin reste visiblement sur le qui-vive. Les autorités sont conscientes que toute dérive, bourrage des urnes sont contreproductifs et peuvent ouvrir la voie à une crise sans précédent.L'administration, avec sa Commission nationale de surveillance des élections est sur le pied de guerre. Les moyens de contrôle mobilisés ne devraient pas observer de mouvements suspectant une fraude dans les bureaux de vote. Toute la partie devra se jouer à ce niveau. Pour une crédibilité de cette élection, il est à l'inscrire dans le sillage du discours des hauts responsables de l'Etat, à leur tête le président de la République, qui ont réitéré que le vote sera transparent.Les autorités publiques savent que le monde entier notamment les grandes puissances ont les yeux braqués sur une élection qui intervient dans un contexte de haute tension.La rivalité entre candidats et les partisans du 4e mandat prend des proportions inquiétantes et ne se limite pas à une simple adversité. Dans ce climat, les menaces et suspicions qui pèsent sur cette élection sont perçues comme des outils forts de la manipulation des masses lors d'une élection à grand enjeu. Tous les moyens - peu légaux au demeurant - ont été utilisés comme faire-valoir par certains candidats.On a pu observer que certaines voix doutent carrément de la crédibilité de ce scrutin, qui par médias interposés, ont appelé les candidats à se retirer de la course électorale. D'autres se transformant en opposants de la dernière minute ont appelé les organismes internationaux à intervenir pour bloquer le processus électoral. Du jamais vu durant cette élection qui reste, faut-il le souligner, une question qui concernent les Algériens d'abord.C'est dans cet ordre d'idées que les plus hauts responsables politiques, à leur tête le ministre de l'intérieur, prennent au sérieux toutes ces menaces. Le 17 avril devra ainsi être une élection ouverte et non un jeu fermé. Les 22 millions d'électeurs ont à apprécier le candidat selon les règles élémentaires de la démocratie des urnes. Pour garantir cette efficacité, le gouvernement tranche en faveur d'un dépouillement des bulletins de vote face aux caméras du monde et des observateurs internationaux. La mission reste difficile face à la complexité de la situation et les résultats finaux de cette élection ne devraient pas, selon différentes voix, à consacrer la crise de l'après 17 avril.L'Algérie échappe ainsi à tous les scénarii de « révolte » ou de rébellion à la sauce des printemps arabes. Son intégrité et sa stabilité se trouvant menacés par des mouvements « suspicieux » qui activent en outre-mer, il serait donc salutaire de mettre toute l'énergie pour que le scrutin soit serein et non entaché d'abus qui mettrait en péril tout ce qui a été fait jusque-là. En d'autres termes, c'est le chantier des réformes politiques post électoral qui inciterait d'avantage à la mobilisation des acteurs politiques quelque soit leur sensibilité ou leur tendance. Mais là encore, le sujet est prématuré pour le débatpost-électoral.L'administration, avec sa Commission nationale de surveillance des élections est sur le pied de guerre. Les moyens de contrôle mobilisés ne devraient pas observer de mouvements suspectant une fraude dans les bureaux de vote. Toute la partie devra se jouer à ce niveau. Pour une crédibilité de cette élection, il est à l'inscrire dans le sillage du discours des hauts responsables de l'Etat, à leur tête le président de la République, qui ont réitéré que le vote sera transparent.Les autorités publiques savent que le monde entier notamment les grandes puissances ont les yeux braqués sur une élection qui intervient dans un contexte de haute tension.La rivalité entre candidats et les partisans du 4e mandat prend des proportions inquiétantes et ne se limite pas à une simple adversité. Dans ce climat, les menaces et suspicions qui pèsent sur cette élection sont perçues comme des outils forts de la manipulation des masses lors d'une élection à grand enjeu. Tous les moyens - peu légaux au demeurant - ont été utilisés comme faire-valoir par certains candidats.On a pu observer que certaines voix doutent carrément de la crédibilité de ce scrutin, qui par médias interposés, ont appelé les candidats à se retirer de la course électorale. D'autres se transformant en opposants de la dernière minute ont appelé les organismes internationaux à intervenir pour bloquer le processus électoral. Du jamais vu durant cette élection qui reste, faut-il le souligner, une question qui concernent les Algériens d'abord.C'est dans cet ordre d'idées que les plus hauts responsables politiques, à leur tête le ministre de l'intérieur, prennent au sérieux toutes ces menaces. Le 17 avril devra ainsi être une élection ouverte et non un jeu fermé. Les 22 millions d'électeurs ont à apprécier le candidat selon les règles élémentaires de la démocratie des urnes. Pour garantir cette efficacité, le gouvernement tranche en faveur d'un dépouillement des bulletins de vote face aux caméras du monde et des observateurs internationaux. La mission reste difficile face à la complexité de la situation et les résultats finaux de cette élection ne devraient pas, selon différentes voix, à consacrer la crise de l'après 17 avril.L'Algérie échappe ainsi à tous les scénarii de « révolte » ou de rébellion à la sauce des printemps arabes. Son intégrité et sa stabilité se trouvant menacés par des mouvements « suspicieux » qui activent en outre-mer, il serait donc salutaire de mettre toute l'énergie pour que le scrutin soit serein et non entaché d'abus qui mettrait en péril tout ce qui a été fait jusque-là. En d'autres termes, c'est le chantier des réformes politiques post électoral qui inciterait d'avantage à la mobilisation des acteurs politiques quelque soit leur sensibilité ou leur tendance. Mais là encore, le sujet est prématuré pour le débatpost-électoral.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)