Algérie

L'autre calvaire des cancéreux Indisponibilité des plaquettes de sang dans les hôpitaux



L'autre calvaire des cancéreux                                    Indisponibilité des plaquettes de sang dans les hôpitaux
Même si le don de sang commence à être de plus en plus ancré dans les m'urs des citoyens, celui des plaquettes, destinées principalement pour les personnes atteintes du cancer, reste très insuffisant d'autant que leur durée de vie ne dépasse pas les cinq jours. Outre cela, les groupes sanguins négatifs restent, également, insuffisants. Une insuffisance due principalement à la rareté de ces qualités de sang dans la nature. C'est ce qu'a déclaré, hier à Alger, le Dr Kahina Souami de l'Agence nationale de sang (ADS).
Animant une conférence au centre de presse d'El Moudjahid, à l'occasion de la célébration de la Journée nationale des donneurs de sang, qui coïncide avec le 25 octobre, M. Souami dira que «le don de sang est en hausse en Algérie». Toutefois, a-t-elle déploré, «les groupes négatifs sont insuffisants. Les plaquettes aussi restent insuffisantes, surtout que leur durée de vie est de 5 jours». Kahina Souami a, dans ce contexte, expliqué que la technique d'extraction des plaquettes est compliquée. La conférencière a, à cette occasion, affirmé que 12 centres de transfusion sanguine seront incessamment réceptionnés dans plusieurs wilayas du pays, à savoir Alger, Oran, Tizi-Ouzou, Sidi Belabbès, Constantine, Djelfa, Bouira et autres. Un autre programme, allant de 2010 jusqu'à 2014, prévoit également la réception de 12 autres centres de transfusion sanguine, a-t-elle annoncé. Grosso modo, «l'Algérie dispose de 230 structures de transfusion sanguine», a-t-elle indiqué, et de poursuivre que «le programme de don de sang a, depuis son lancement en 1996, atteint 80%». De son côté, le président de la Fédération algérienne des donneurs de sang (FADS), Kaddour Gharbi a indiqué que «le nombre des donneurs de sang permanents a atteint 95.000 donneurs en 2011». Rien que pour le mois sacré de ramadhan, s'est-il réjoui, «40.000 Algériens ont donné un peu de leur sang». Kaddour Gharbi a, pour sa part, noté que «le nombre des donneurs permanents a progressé». M. Gharbi a, sur un autre plan, plaidé pour le statut d'utilité publique. Un statut permettant à la FADS d'être représentative à l'échelle nationale qu'au niveau international.
Même si le don de sang commence à être de plus en plus ancré dans les m'urs des citoyens, celui des plaquettes, destinées principalement pour les personnes atteintes du cancer, reste très insuffisant d'autant que leur durée de vie ne dépasse pas les cinq jours. Outre cela, les groupes sanguins négatifs restent, également, insuffisants. Une insuffisance due principalement à la rareté de ces qualités de sang dans la nature. C'est ce qu'a déclaré, hier à Alger, le Dr Kahina Souami de l'Agence nationale de sang (ADS).
Animant une conférence au centre de presse d'El Moudjahid, à l'occasion de la célébration de la Journée nationale des donneurs de sang, qui coïncide avec le 25 octobre, M. Souami dira que «le don de sang est en hausse en Algérie». Toutefois, a-t-elle déploré, «les groupes négatifs sont insuffisants. Les plaquettes aussi restent insuffisantes, surtout que leur durée de vie est de 5 jours». Kahina Souami a, dans ce contexte, expliqué que la technique d'extraction des plaquettes est compliquée. La conférencière a, à cette occasion, affirmé que 12 centres de transfusion sanguine seront incessamment réceptionnés dans plusieurs wilayas du pays, à savoir Alger, Oran, Tizi-Ouzou, Sidi Belabbès, Constantine, Djelfa, Bouira et autres. Un autre programme, allant de 2010 jusqu'à 2014, prévoit également la réception de 12 autres centres de transfusion sanguine, a-t-elle annoncé. Grosso modo, «l'Algérie dispose de 230 structures de transfusion sanguine», a-t-elle indiqué, et de poursuivre que «le programme de don de sang a, depuis son lancement en 1996, atteint 80%». De son côté, le président de la Fédération algérienne des donneurs de sang (FADS), Kaddour Gharbi a indiqué que «le nombre des donneurs de sang permanents a atteint 95.000 donneurs en 2011». Rien que pour le mois sacré de ramadhan, s'est-il réjoui, «40.000 Algériens ont donné un peu de leur sang». Kaddour Gharbi a, pour sa part, noté que «le nombre des donneurs permanents a progressé». M. Gharbi a, sur un autre plan, plaidé pour le statut d'utilité publique. Un statut permettant à la FADS d'être représentative à l'échelle nationale qu'au niveau international.


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