Les autorités locales sont démissionnaires; en dépit du fait qu'elles ont été averties, elles refusent de trancher concernant notre problème, qui se pose avec acuité, et depuis longtemps», fulmine le président de l'association Afak, du projet présidentiel de 100 locaux par commune, Brahim Serrar.
Il s'agit des locaux commerciaux de la cité Daksi, octroyés en 2008. Livrés sans la moindre commodité, ils sont squattés par les commerçants informels de fruits et légumes qui en bloquent l'accès avec leur marchandise. Joint par téléphone, le président de Afak déclare qu'après la parution il y a un mois d'un article intitulé «L'association Affak crie son ras-le-bol», sur les colonnes d'El Watan, les autorités se sont vaguement manifestées pour vite s'éclipser, laissant le problème en l'état.
L'association en question qui a bénéficié de l'exploitation de ces locaux ne cesse de dénoncer moult problèmes y afférents, comme l'insécurité, l'insalubrité, l'absence d'AEP, l'anarchie. «Cette dégradation ternit l'image de la ville, notamment celle de cette cité qui abrite de surcroît le nouveau siège de la wilaya», déplore notre interlocuteur. Il faut souligner que l'association a adressé ses doléances aux plus hautes instances du pays, en passant par celles locales. Mais en vain.
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Posté Le : 16/10/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : O S M
Source : www.elwatan.com