Algérie

L'ARPT tranchera bientôt



L'ARPT tranchera bientôt
L'accélération de la cadence de la numérisation de l'économie est le sujet à propos duquel a eu à s'exprimer, ce mercredi, la ministre des Technologies de l'information, de la communication et de l'économie numérique.L'accélération de la cadence de la numérisation de l'économie est le sujet à propos duquel a eu à s'exprimer, ce mercredi, la ministre des Technologies de l'information, de la communication et de l'économie numérique.Accueillie à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, Imane Houda Faraoun rappelle que la numérisation globale des systèmes financiers, de l'administration, des services publics et des entreprises, figurent parmi les objectifs que s'est fixé son département. A ce titre, elle signale que les " E-commerce, E-paiement, Mobile-paiement et les partages de données sont parmi les activités qui attendent d'être encadrées par une loi sur le commerce électronique et d'autres textes réglementaires" .Prenant l'exemple du commerce en ligne, la ministre relève cependant la réticence des détaillants à s'impliquer dans le E-paiement, en raison, dit-elle "de leur manque de confiance vis-à-vis du système financier, mais également de leurs habitudes à préférer le paiement cash pour faire solder leurs prestations" .Se refusant à toute sorte de contrainte par rapport à ces derniers et afin de les amener à adopter le mode de règlement électronique, elle annonce le déploiement d'un vaste réseau de paiement électronique pour la réalisation duquel Algérie Poste s'apprête à acquérir 50.000 terminaux.Mme Faraoun estime que cette première expérience poussera, petit à petit, les Algériens à s'acquitter de leurs achats par le biais d'une carte bancaire et, par un "effet boule de neige", à amener progressivement les commerçants à adopter, à leur tour, ce moyen de paiement.Par ailleurs la ministre a affirmé que l'Autorité de régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) s'est autosaisie du dossier de la révision de la tarification de la 4G LTE (téléphonie fixe). Les clients le de la 4G LTE, rappelons le, ont protesté après avoir constaté un changement dans la tarification des abonnements et des débits contractés. Ainsi, il a été question de la suppression du forfait de 1.000 DA pour un débit de 1 Go mensuellement qui se réduit à 512 ko à l'épuisement du crédit.Les clients sont ainsi contraints de recharger leur crédit dès son épuisement faute de quoi ils seront privés de la connexion. L'organisme qui se charge des aspects relatifs à la tarification et aux prix "rendra son verdict souverain dans les prochains jours" , a assuré la ministre. Houda Faraoun est revenue sur le déploiement du réseau 4G LTE, son objectif et les erreurs constatées sur le terrain depuis le lancement de ce projet.Selon elle, Algérie Télécom a été autorisée par le gouvernement à déployer la 4G LTE pour "connecter les zones où la fibre optique ne peut pas arriver qu'à des prix exorbitants, c'est-à-dire les zones enclavées et là où le relief est difficile et accidenté. Malheureusement, on constate sur le terrain aujourd'hui que la plus grande partie des BTS et antennes de 4G LTE a été déployée là où il y déjà le réseau ADSL" , a noté la ministre. Résultat: la majorité des clients de la 4G LTE se retrouve avec "une double connexion" ,le réseau ADSL étant également opérationnel. "Ces clients ont donc le choix pendant que ceux habitant les zones qui nécessitent le déploiement de la 4G en sont privés", a-t-elle expliqué. De ce fait, l'effort de l'Etat en matière d'investissement et d'acquisition d'équipements extrêmement coûteux de la 4G LTE "a servi les zones urbaines raccordées à la fibre optique au lieu de servir les zones reculées" a-t-elle ajouté.Accueillie à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, Imane Houda Faraoun rappelle que la numérisation globale des systèmes financiers, de l'administration, des services publics et des entreprises, figurent parmi les objectifs que s'est fixé son département. A ce titre, elle signale que les " E-commerce, E-paiement, Mobile-paiement et les partages de données sont parmi les activités qui attendent d'être encadrées par une loi sur le commerce électronique et d'autres textes réglementaires" .Prenant l'exemple du commerce en ligne, la ministre relève cependant la réticence des détaillants à s'impliquer dans le E-paiement, en raison, dit-elle "de leur manque de confiance vis-à-vis du système financier, mais également de leurs habitudes à préférer le paiement cash pour faire solder leurs prestations" .Se refusant à toute sorte de contrainte par rapport à ces derniers et afin de les amener à adopter le mode de règlement électronique, elle annonce le déploiement d'un vaste réseau de paiement électronique pour la réalisation duquel Algérie Poste s'apprête à acquérir 50.000 terminaux.Mme Faraoun estime que cette première expérience poussera, petit à petit, les Algériens à s'acquitter de leurs achats par le biais d'une carte bancaire et, par un "effet boule de neige", à amener progressivement les commerçants à adopter, à leur tour, ce moyen de paiement.Par ailleurs la ministre a affirmé que l'Autorité de régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) s'est autosaisie du dossier de la révision de la tarification de la 4G LTE (téléphonie fixe). Les clients le de la 4G LTE, rappelons le, ont protesté après avoir constaté un changement dans la tarification des abonnements et des débits contractés. Ainsi, il a été question de la suppression du forfait de 1.000 DA pour un débit de 1 Go mensuellement qui se réduit à 512 ko à l'épuisement du crédit.Les clients sont ainsi contraints de recharger leur crédit dès son épuisement faute de quoi ils seront privés de la connexion. L'organisme qui se charge des aspects relatifs à la tarification et aux prix "rendra son verdict souverain dans les prochains jours" , a assuré la ministre. Houda Faraoun est revenue sur le déploiement du réseau 4G LTE, son objectif et les erreurs constatées sur le terrain depuis le lancement de ce projet.Selon elle, Algérie Télécom a été autorisée par le gouvernement à déployer la 4G LTE pour "connecter les zones où la fibre optique ne peut pas arriver qu'à des prix exorbitants, c'est-à-dire les zones enclavées et là où le relief est difficile et accidenté. Malheureusement, on constate sur le terrain aujourd'hui que la plus grande partie des BTS et antennes de 4G LTE a été déployée là où il y déjà le réseau ADSL" , a noté la ministre. Résultat: la majorité des clients de la 4G LTE se retrouve avec "une double connexion" ,le réseau ADSL étant également opérationnel. "Ces clients ont donc le choix pendant que ceux habitant les zones qui nécessitent le déploiement de la 4G en sont privés", a-t-elle expliqué. De ce fait, l'effort de l'Etat en matière d'investissement et d'acquisition d'équipements extrêmement coûteux de la 4G LTE "a servi les zones urbaines raccordées à la fibre optique au lieu de servir les zones reculées" a-t-elle ajouté.


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