L'arbitre Turc a-t-il favorisé le Real '

Qu'est-ce qui pourrait bien être retenu du match retour Real-Bayern, si ce n'est deux grosses étonnantes fautes, la première est celle commise par gardien allemand Ulreich.La seconde qui a fait tâche sur cette rencontre provient de cet arbitre qui a «officiellement» affiché son appartenance au Real. Les supporters et les téléspectateurs du monde qu'ils soient fans du Real ou du Bayern auront certainement hurlé de peur ou pour protester cette main et non le coude de Marcelo a qui a détourné la balle mais c'est bien la main, ceci est arrivé dans le temps additionnel. L'arbitre central ne pouvait ignorer cette main puisqu'il était à deux pas de la faute en plus, on remarquera au grand dégoût des supporters que le juge de touche était aussi est très proche des joueurs, c'est la main gauche qui touche le ballon et d'une manière qui est délibérée.»
Tous les spécialistes interrogés sur les plateaux l'affirment sans hésiter, «il y a bien penalty. Nous ne pouvons que nous incliner devant leur unanimité. Ajoutons que Marcelo lui-même reconnaît aujourd'hui qu'il y avait bien penalty.» Un journaliste sportif réagira à travers ses écrits en disant tout simplement que «l'arbitre, le taciturne Cuneit Çakyr, n'a pas accordé ce penalty qui semblait pourtant s'imposer. Une main intervenue, les caméras le montrent, que cette faute est intervenue à un endroit où personne ne peut éviter de remarquer que ce soit pour les caméras ou pour les fans.»
Cette erreur rarissime et dramatique du gardien allemand, qui sera pour toujours la marque de ce match, ce pourquoi il restera dans les mémoires... Notre réponse est simple : nous laissons cette action effectivement extraordinaire aux journaux à grand tirage et aux gros titres de la presse «fast food». La vidéo est partout, tout le monde en parle, réagit et commente, nous n'allons pas ajouter notre voix à cette tourmente éphémère. Il s'agit d'une jambe qui ne s'allonge pas assez, d'un bras qui hésite, dont les conséquences sont certes terribles, mais dont l'essence reste anecdotique et ne se situe pas dans un mouvement historique.» Une vague de protestation s'élève de partout, créant ainsi une colère qui va au-delà des frontières espagnoles.
Le match est regardé par des milliards de téléspectateurs, et il est inconcevable que de pareilles fautes cassent le rythme de la rencontre notamment lorsqu'il est permis à tous de comprendre que l'arbitre de la rencontre a nettement favorisé le Real et en plus ce n'est pas la première durant cette saison. Notons pour terminer que c'est ce même arbitre, le Turc Cuneit Çakyr, qui avait arbitré le quart de finale aller Juventus ? Real. A l'arrivée, un carton rouge très sévère contre le Turinois Dybala, un penalty non sifflé pour une faute de Carvajal sur Cuadrado et deux fautes de main dans la surface non sifflées pour le Real. Cela n'arrive pas seulement en Algérie. L'arbitrage devient ainsi presque un phénomène qui tire ses racines de la violence.