L'arbitre Fall : «Devoir» plein de fautes

L'arbitre sénégalais, Osman Fall, a dirigé  une rencontre sur une pelouse grasse et glissante qui ne devait valoir que par son résultat. Pour les Fennecs, devant leur public, avides de rachat et la Centrafrique qui attendait un «don» du ciel pour cet ultime match de poule du groupe (4), et ce, qui restait comme reliquat. Ces données d'avant match, pris pour argent comptant, ont totalement déconcentré le référée, qui a donné l'impression d'être dépassé par les événements, particulièrement en première mi-temps. Il était en retard dans le domaine de l'intervention en faisant une faible lecture du jeu, d'où sa mauvaise appréciation de la règle de l'avantage. Il a fait une incohérente application et pour étayer le chapitre des ratages, pour les dispositions de la «loi 12»Â  et à  ce niveau de pratique et de compétition, il a fait une étrange et désolante interprétation, où il a manqué dans plusieurs situations de concentration et en perdant des points (pour sa notation) en matière de collaboration (avec ses assistants) et de coordination. Les joueurs de Centrafrique dépassés par les mouvements offensifs des Algériens et exécutés avec rapidité, ont profité de sa «bonté» et de sa passivité pour «étaler» leur excès de virilité qui a atteint (par moment) le seuil de la brutalité. En s'attardant plutôt sur des futilités, qui n'ont été, pour la gestion  de cette rencontre, d'aucune utilité. En  conclusion : M. Fall a manqué d'habilité, influant directement sur sa rentabilité, conséquence de faibles facultés.