Evoquant la situation du club sur le plan administratif et financier, Hannachi clamera haut et fort : «La JSK n'appartient à personne, elle appartient à toute la Kabylie et à tous les Kabyles. Je n'ai jamais dit que c'était ma propriété ou celle de ma famille. C'est mon club, je l'ai servi sans compter et je continuerai à le servir jusqu'à mon départ. Si tout va bien, le dossier du club sera ficelé dans les prochains jours puisque nous avons évalué le capital social du club à 85 milliards de centimes. Et je tiens à rassurer tous les supporters de la JSK, qu'avant de partir je laisserai le club entre de bonnes mains, avec un directeur général et un président du CSA (club sportif amateur). Quant à moi, je deviendrai un simple actionnaire de la société, au même titre que d'autres qui viendront prendre des parts». Plusieurs autres sujets seront abordés par le président des Canaris comme le terrain acquis par le club il y a six ans : «Certains me parlent du terrain, alors qu'ils ne savent pas que nous avons dû le payer par tranches durant plusieurs années et ce n'est que tout récemment que nous avons eu les documents des services des domaines. Vous pensez que tous ceux qui gesticulent vont ramener quelque chose, voire un centime à la JSK '» De quoi apporter un peu plus d'eau au moulin de ses détracteurs qui disent ne pas le lâcher de sitôt. Mais Hannachi a vu plus que ça et ce n'est pas maintenant que le club veut revenir au plus haut de l'affiche qu'il quittera la scène. C'est une autre page qui s'ouvre tout simplement.
A. S-B
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Posté Le : 29/06/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A Salah Bey
Source : www.infosoir.com