Algérie

L'APN à l'épreuve de la démocratie


L'APN à l'épreuve de la démocratie
En cas de candidat unique pour le poste de président de l'Assemblée populaire nationale, le vote pour son investiture selon le mode opératoire de la main levée est clair.
Néanmoins, le cas de plusieurs candidats, le vote secret s'impose, et si les deux candidats en lice sont en parfaite égalité, le plus âgé sera déclaré président du Parlement.
En fait, en vertu de ces dispositions légales, le président de l'APN devait être connu hier en fin de soirée avec tout le suspense enveloppant cette procédure. Mais, on croit savoir que le député Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui assure la présidence de la séance plénière durant la journée d'hier lors de l'installation de la nouvelle assemblée, est pressenti pour occuper ce poste stratégique de la Chambre haute. Sachant que la nouvelle devise de la septième législature consiste, notamment, à raffermir l'exercice démocratique dans le contexte du pluralisme et du multipartisme politique, il est certain que tous les députés des 27 formations politiques représentées au Parlement vont devoir s'efforcer de travailler inlassablement pour cimenter la démocratie qui reste toujours à matérialiser en dépit des insuffisances et des imperfections rencontrées çà et là, selon des observateurs. En tout état de cause, l'écrasante majorité des Algériens estime que l'important c'est de sauvegarder les intérêts supérieurs de l'Algérie malgré les divergences d'opinions et de vues, car il est clair et net que la paix civile, la stabilité du pays et la sécurité des citoyens, ainsi que la préservation de leur pouvoir d'achat sont les principaux objectifs assignés aux nouveaux parlementaires. Ceux-ci doivent s'occuper, avant tout, de défendre les valeurs de la République et de la justice sociale, et notamment, les droits de la jeunesse dont plus de 70 % de la population ont moins de 35 ans.
En cas de candidat unique pour le poste de président de l'Assemblée populaire nationale, le vote pour son investiture selon le mode opératoire de la main levée est clair.
Néanmoins, le cas de plusieurs candidats, le vote secret s'impose, et si les deux candidats en lice sont en parfaite égalité, le plus âgé sera déclaré président du Parlement.
En fait, en vertu de ces dispositions légales, le président de l'APN devait être connu hier en fin de soirée avec tout le suspense enveloppant cette procédure. Mais, on croit savoir que le député Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui assure la présidence de la séance plénière durant la journée d'hier lors de l'installation de la nouvelle assemblée, est pressenti pour occuper ce poste stratégique de la Chambre haute. Sachant que la nouvelle devise de la septième législature consiste, notamment, à raffermir l'exercice démocratique dans le contexte du pluralisme et du multipartisme politique, il est certain que tous les députés des 27 formations politiques représentées au Parlement vont devoir s'efforcer de travailler inlassablement pour cimenter la démocratie qui reste toujours à matérialiser en dépit des insuffisances et des imperfections rencontrées çà et là, selon des observateurs. En tout état de cause, l'écrasante majorité des Algériens estime que l'important c'est de sauvegarder les intérêts supérieurs de l'Algérie malgré les divergences d'opinions et de vues, car il est clair et net que la paix civile, la stabilité du pays et la sécurité des citoyens, ainsi que la préservation de leur pouvoir d'achat sont les principaux objectifs assignés aux nouveaux parlementaires. Ceux-ci doivent s'occuper, avant tout, de défendre les valeurs de la République et de la justice sociale, et notamment, les droits de la jeunesse dont plus de 70 % de la population ont moins de 35 ans.


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