Les petites entreprises de l'Ansej et de la Cnac devraient être sollicitées bientôt pour parer à la crise touchant plusieurs secteurs. La santé et l'agriculture sont placées comme une priorité dans un programme d'urgence.Les petites entreprises de l'Ansej et de la Cnac devraient être sollicitées bientôt pour parer à la crise touchant plusieurs secteurs. La santé et l'agriculture sont placées comme une priorité dans un programme d'urgence.
C'est le ministre de la Petite entreprise, des Startups et de l'Economie de la connaissance, Yassine Djeridène, qui l'a annoncé au cours d'une intervention via une visioconférence. Le ministre indique en effet que "le nouveau programme baptisé Restart concerne les entreprises de l'Ansej et celles du Cnac afin de les accompagner dans le cadre de la relance de leurs activités". Face à la pandémie sanitaire, des secteurs entiers sont frappés de plein fouet par la crise.
Les petites entreprises vont venir à la rescousse dans des secteurs sensibles à l'instar de la santé, l'agriculture et la petite industrie. D'ores et déjà, le ministre de la Santé a donné des assurances sur l'octroid'équipements de prévention : masques et bavettes au personnel de ces petites entreprises. De son côté, le ministère de l'Agriculture estime que les "petites entreprises peuvent aider aux projets agricoles en obtenant l'autorisation d'investir". Dans le secteur de la santé, bon nombre de micro-entreprises se sont distinguées depuis l'apparition de la crise sanitaire par la création d'ateliers de confection deblouses médicales, de masques de protection et de certains équipements rudimentaires pour les besoins de santé publique. Dans le créneau agricole, la production et la collecte de fruits et légumes commencent à donner des résultats. Mais pour le ministre Djerridène, il est question aussi de "mettre en urgence une stratégie
d'accompagnement et de corriger certains dysfonctionnements du passé". Dans ce sens, les micro-entreprises créées par les jeunes promoteurs doivent souscrire à des garanties mais plus souples. Plus question de caution pour obtenir des crédits bancaires, il suffit de joindre une étude de marché fiable et de son impact sur le créneau choisi. Les postulants aux nouveaux projets peuvent obtenir une aide en TIC comme micro-ordinateurs et un rabais sur un abonnement Internet pour développer leurs outils de communications propres à leurs activités. De plus, la création d'emplois par les promoteurs doit être justifiée par des documents et non sur une simple liste communiquée aux antennes de l'Ansej. A ce niveau, le ministère envisage de réduire certaines taxes liées aux activités si ces petites entreprises recrutent plus de 2 employés. Pour les entreprises ayant cessé leurs activités, le gouvernement envisage, sur proposition du ministère en charge, de les relancer et de leur donner une seconde chance.
C'est le ministre de la Petite entreprise, des Startups et de l'Economie de la connaissance, Yassine Djeridène, qui l'a annoncé au cours d'une intervention via une visioconférence. Le ministre indique en effet que "le nouveau programme baptisé Restart concerne les entreprises de l'Ansej et celles du Cnac afin de les accompagner dans le cadre de la relance de leurs activités". Face à la pandémie sanitaire, des secteurs entiers sont frappés de plein fouet par la crise.
Les petites entreprises vont venir à la rescousse dans des secteurs sensibles à l'instar de la santé, l'agriculture et la petite industrie. D'ores et déjà, le ministre de la Santé a donné des assurances sur l'octroid'équipements de prévention : masques et bavettes au personnel de ces petites entreprises. De son côté, le ministère de l'Agriculture estime que les "petites entreprises peuvent aider aux projets agricoles en obtenant l'autorisation d'investir". Dans le secteur de la santé, bon nombre de micro-entreprises se sont distinguées depuis l'apparition de la crise sanitaire par la création d'ateliers de confection deblouses médicales, de masques de protection et de certains équipements rudimentaires pour les besoins de santé publique. Dans le créneau agricole, la production et la collecte de fruits et légumes commencent à donner des résultats. Mais pour le ministre Djerridène, il est question aussi de "mettre en urgence une stratégie
d'accompagnement et de corriger certains dysfonctionnements du passé". Dans ce sens, les micro-entreprises créées par les jeunes promoteurs doivent souscrire à des garanties mais plus souples. Plus question de caution pour obtenir des crédits bancaires, il suffit de joindre une étude de marché fiable et de son impact sur le créneau choisi. Les postulants aux nouveaux projets peuvent obtenir une aide en TIC comme micro-ordinateurs et un rabais sur un abonnement Internet pour développer leurs outils de communications propres à leurs activités. De plus, la création d'emplois par les promoteurs doit être justifiée par des documents et non sur une simple liste communiquée aux antennes de l'Ansej. A ce niveau, le ministère envisage de réduire certaines taxes liées aux activités si ces petites entreprises recrutent plus de 2 employés. Pour les entreprises ayant cessé leurs activités, le gouvernement envisage, sur proposition du ministère en charge, de les relancer et de leur donner une seconde chance.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 30/04/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com