Mine de rien, les habitant de cette localité ont brisé les murs du silence, en fin de semaine, pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie. «Nous habitons un chef-lieu de commune considéré comme un fief sauvage relativement chaud où le reste des groupuscules de terroristes continuent de rôder dans la localité et pourraient, à tout moment, agir comme une bête blessée tout en investissant nos quartiers obscurs. Donc, l'éclairage public est plus qu'un droit», argumentent deux septuagénaires. «Hormis l'inexistence d'un lycée et d'un centre de formation professionnel, l'absence du service de maternité, de l'imagerie médicale dans notre polyclinique et d'une ambulance nous causent des préjudices accablants surtout que le chômage fait toujours ravage dans cette commune» déplorent ces habitants.
Le logement et le gaz de ville sont parmi tant d'autres déficits qui attendent un remède de cheval. Selon le P/APC, le projet de l'éclairage public sera, incessamment, mis en chantier mais celui du gaz de ville devra attendre jusqu'au deuxième semestre de l'année en cours. La même source a affirmé que 110 logements sont en cours de réalisation et seront distribués aussitôt leur achèvement. En ce qui concerne la couverture médicale, le P/APC souhaite, tout comme ses concitoyens, la réponse positive des responsables concernés. Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â
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Posté Le : 22/03/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Boudiaf El Hadj
Source : www.elwatan.com