Algérie

L?ambassadeur britannique à Oran



La demande d?extradition de Khalifa à nouveau entre les mains de la justice Le volume des échanges commerciaux entre l?Algérie et la Grande-Bretagne avoisine les 2 milliards de dollars par an. C?est ce qu?a avancé l?ambassadeur du Royaume-Uni, Andrew Henderson, en visite à Oran pour une durée de trois jours. Hier, après avoir rencontré le wali et rendu visite à l?école des sourds-muets, à l?hôtel Royal, au musée national, il s?est rendu à la chambre de commerce et d?industrie de l?Oranie, où il s?est entretenu avec quelques opérateurs économiques. Le diplomate britannique a d?emblée expliqué l?objet de sa visite en annonçant : « Depuis que je suis ambassadeur en Algérie, depuis juillet dernier, c?est la première fois que je viens à Oran. » Pour lui, c?est là une visite d?exploration du marché national en général, et local en particulier. « Ces dernières années, déclare-t-il, nous avons perdu nos contacts et nous nous retrouvons donc sans aucune information sur votre marché qui nous intéresse beaucoup. » Et d?enchaîner : « Les grandes compagnies britanniques connaissent mal les entreprises algériennes, et c?est pour cette raison que je suis là. » Dans ce sens, il est prévu l?organisation d?un séminaire international, début février à Londres, portant sur le marché algérien. Concernant l?extradition de Abdelmoumen Khalifa, M. Henderson a affirmé qu?une deuxième demande a été introduite par les pouvoirs publics auprès du Royaume-Uni et « l?affaire est en ce moment entre les mains de la justice ». La délivrance des visas a été également un sujet débattu lors de cette rencontre. On devait apprendre à ce propos que le consulat, récemment rouvert à Alger, commencera à recevoir les demandes de résidence à partir du 25 novembre et que, deux semaines plus tard, ils recevront les demandes des étudiants puis, encore deux semaines plus tard, ce sera les demandes des opérateurs économiques.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)