Algérie

L'Algérie veut faire appel à des enseignants indiens Apprentissage de la langue anglaise



L'Algérie veut faire appel à des enseignants indiens Apprentissage de la langue anglaise
Le niveau des enseignants algériens est-il aussi médiocre que cela ' Dans son ambition de se tourner vers une économie diversifiée avec à l'appui un renforcement des investissements étrangers en Algérie, le gouvernement a, semble-t-il, décidé d'investir dans l'apprentissage de la langue anglaise.
Le niveau des enseignants algériens est-il aussi médiocre que cela ' Dans son ambition de se tourner vers une économie diversifiée avec à l'appui un renforcement des investissements étrangers en Algérie, le gouvernement a, semble-t-il, décidé d'investir dans l'apprentissage de la langue anglaise.
Selon l'Agence de presse indo-asiatique (IANS), l'ambassadeur d'Algérie en Inde, Mohammed Hacène Echarif, a demandé aux autorités indiennes de lui fournir des candidats pour enseigner la langue anglaise dans les universités algériennes. Toujours selon cette même agence, pas moins de 100 instituts affiliés à 13 universités algériennes auraient besoin de près de 250 enseignants de langue anglaise. «Les normes du système éducatif indien sont très élevées. Notre gouvernement est très impressionné par les professeurs indiens qui ont un grand avantage éducatif dans des matières telles que la langue anglaise, les sciences et les mathématiques», a déclaré l'ambassadeur algérien dans une interview à l'IANS.Le gouvernement algérien, selon son ambassadeur à Delhi, proposera un salaire mensuel de 2.000 euros, un hébergement gratuit, un transport, un contrat de travail d'une durée de trois années renouvelable et une bonne augmentation annuelle. Selon l'agence de presse indo-asiatique, qui a interviewé le diplomate algérien, les candidatures qui seront sélectionnées devront être soumises à un panel d'experts algériens avant de prendre leurs postes à la rentrée de septembre prochain. «Seulement cinq pour cent de la population algérienne peut bien parler anglais. Nous espérons que les professeurs indiens peuvent nous aider à populariser la langue», a-t-il dit. Evoquant le nombre de travailleurs indiens présents sur le territoire national, l'ambassadeur dira qu'ils sont 3.000 et ont prouvé leurs compétences. «Ils ont un bon comportement. Ils sont très appréciés dans notre société. Ils sont vaillants. Et cela est une autre raison pour laquelle nous voulons avoir plus de travailleurs indiens dans notre pays», a-t-il ajouté. M. Hacène Echarif a, par ailleurs, fait part dans l'interview qu'il a accordé à l'IANS de la volonté de l'Algérie à réduire sa dépendance à l'Ouest, à savoir, les pays occidentaux. «L'Inde dispose d'une ressource humaine considérable. Nous voulons l'exploiter et inviter plus de travailleurs indiens qualifiés dans un proche avenir», a-t-il confié. Pour sa part, cite l'agence, le premier secrétaire de l'ambassade algérienne à Delhi, Fayçal Sifodil, a fait savoir que le ministère algérien de la Santé et de la Réforme hospitalière «envisagerait de conclure une entente avec son homologue indien en vertu de laquelle seront offerts des postes de travail en Algérie à des centaines de médecins et directeurs d'hôpitaux indiens avec une rémunération généreuse».
Selon l'Agence de presse indo-asiatique (IANS), l'ambassadeur d'Algérie en Inde, Mohammed Hacène Echarif, a demandé aux autorités indiennes de lui fournir des candidats pour enseigner la langue anglaise dans les universités algériennes. Toujours selon cette même agence, pas moins de 100 instituts affiliés à 13 universités algériennes auraient besoin de près de 250 enseignants de langue anglaise. «Les normes du système éducatif indien sont très élevées. Notre gouvernement est très impressionné par les professeurs indiens qui ont un grand avantage éducatif dans des matières telles que la langue anglaise, les sciences et les mathématiques», a déclaré l'ambassadeur algérien dans une interview à l'IANS.Le gouvernement algérien, selon son ambassadeur à Delhi, proposera un salaire mensuel de 2.000 euros, un hébergement gratuit, un transport, un contrat de travail d'une durée de trois années renouvelable et une bonne augmentation annuelle. Selon l'agence de presse indo-asiatique, qui a interviewé le diplomate algérien, les candidatures qui seront sélectionnées devront être soumises à un panel d'experts algériens avant de prendre leurs postes à la rentrée de septembre prochain. «Seulement cinq pour cent de la population algérienne peut bien parler anglais. Nous espérons que les professeurs indiens peuvent nous aider à populariser la langue», a-t-il dit. Evoquant le nombre de travailleurs indiens présents sur le territoire national, l'ambassadeur dira qu'ils sont 3.000 et ont prouvé leurs compétences. «Ils ont un bon comportement. Ils sont très appréciés dans notre société. Ils sont vaillants. Et cela est une autre raison pour laquelle nous voulons avoir plus de travailleurs indiens dans notre pays», a-t-il ajouté. M. Hacène Echarif a, par ailleurs, fait part dans l'interview qu'il a accordé à l'IANS de la volonté de l'Algérie à réduire sa dépendance à l'Ouest, à savoir, les pays occidentaux. «L'Inde dispose d'une ressource humaine considérable. Nous voulons l'exploiter et inviter plus de travailleurs indiens qualifiés dans un proche avenir», a-t-il confié. Pour sa part, cite l'agence, le premier secrétaire de l'ambassade algérienne à Delhi, Fayçal Sifodil, a fait savoir que le ministère algérien de la Santé et de la Réforme hospitalière «envisagerait de conclure une entente avec son homologue indien en vertu de laquelle seront offerts des postes de travail en Algérie à des centaines de médecins et directeurs d'hôpitaux indiens avec une rémunération généreuse».


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