Algérie

L'Algérie, une "puissance de paix et d'équilibre"



L'Algérie est une "puissance d'équilibre et de paix, fermement attachée au respect de la souveraineté des Etats et au dialogue politique".L'Algérie est une "puissance d'équilibre et de paix, fermement attachée au respect de la souveraineté des Etats et au dialogue politique".
C'est ce qu'a indiqué hier le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. "La France et l'Algérie ont une convergence de vues et notre concertation est primordiale. L'Algérie est une puissance d'équilibre et de paix, fermement attachée au respect de la souveraineté des Etats et au dialogue politique. Elle est écoutée et respectée et sur ces bases là, nous pouvons avoir ensemble une relation extrêmement forte", a déclaré M.
Le Drian à la presse à l'issue de son entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum. Le président de la République a rappelé à partir de Berlin où il a participé au sommet pour la résolution de la crise libyennela disponibilité de l'Algérie à abriter un dialogue entre les partis du conflit dans le pays voisin. L'invitation au dialogue du Président Tebboune a fait réagir le porteparole du ministère des Affaires étrangères libyen, Mohamed El Kablaoui. "L'Algérie est un pays frère et voisin qui parraine cette initiative de réunir les libyens loin de toutes autres ingérences négatives", a-t-il, ainsi, déclaré au micro de la Radio nationale. Selon le porte parole du MAE libyen, la crédibilité de l'Algérie, son poids diplomatique ainsi que sa neutralité permet la réussite de cette initiative.
« Cette annonce de l'Algérie signifie beaucoup pour nous d'autant plus qu'elle est totalement neutre dans ce conflit » a, d'ailleurs, poursuivi le responsable libyen. De son coté, le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, a réitéré la position commune de l'Afrique en soutien à un cessez-le-feu "complet et sans conditions" préalables en Libye et au respect de l'embargo des Nations unies sur les armes dans ce pays. M. Faki, qui a participé à la Conférence internationale sur la Libye dimanche à Berlin, a mis l'accent, dans un communiquépublié lundi sur le site de l'UA, sur l'impératif essentiel de mettre en oeuvre "un cessez-le-feu complet et sans conditions, le respect de l'embargo de l'Onu sur les armes et la nécessité de poursuivre en justice les contrevenants". M. Mahamat a appelé, une nouvelle fois, au "retour d'un processus politique inclusif mené et contrôlé par les Libyens et qui comprenne un mécanisme de suivi efficace", selon le communiqué de l'UA publié dans la foulée de la Conférence de haut niveau sur la Libye à Berlin, la capitale de l'Allemagne.
Le président de la Commission de l'UA a aussi souligné que la position de l'organisation panafricaine sur la Libye était "claire : aucune solution militaire ne peut résoudre ce conflit et chaque solution doit inclure un processus politique mené par la Libye et comprenant un dialogue inclusif". Le Comité de haut niveau de l'UA sur la Libye, qui a été créé en 2011 peu après le déclenchement de la crise libyenne, devrait organiser le 30 janvier une réunion de suivi dans la capitale de la République du Congo Brazzaville. La réunion devra évaluer l'évolution de la situation en Libye en amont du prochain Sommet des chefs d'Etat et de gouvernement africains, qui aura lieu les 9 et 10 février au siège de l'UA dans la capitale éthiopienne Addis- a indiqué l'UA.
C'est ce qu'a indiqué hier le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. "La France et l'Algérie ont une convergence de vues et notre concertation est primordiale. L'Algérie est une puissance d'équilibre et de paix, fermement attachée au respect de la souveraineté des Etats et au dialogue politique. Elle est écoutée et respectée et sur ces bases là, nous pouvons avoir ensemble une relation extrêmement forte", a déclaré M.
Le Drian à la presse à l'issue de son entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum. Le président de la République a rappelé à partir de Berlin où il a participé au sommet pour la résolution de la crise libyennela disponibilité de l'Algérie à abriter un dialogue entre les partis du conflit dans le pays voisin. L'invitation au dialogue du Président Tebboune a fait réagir le porteparole du ministère des Affaires étrangères libyen, Mohamed El Kablaoui. "L'Algérie est un pays frère et voisin qui parraine cette initiative de réunir les libyens loin de toutes autres ingérences négatives", a-t-il, ainsi, déclaré au micro de la Radio nationale. Selon le porte parole du MAE libyen, la crédibilité de l'Algérie, son poids diplomatique ainsi que sa neutralité permet la réussite de cette initiative.
« Cette annonce de l'Algérie signifie beaucoup pour nous d'autant plus qu'elle est totalement neutre dans ce conflit » a, d'ailleurs, poursuivi le responsable libyen. De son coté, le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, a réitéré la position commune de l'Afrique en soutien à un cessez-le-feu "complet et sans conditions" préalables en Libye et au respect de l'embargo des Nations unies sur les armes dans ce pays. M. Faki, qui a participé à la Conférence internationale sur la Libye dimanche à Berlin, a mis l'accent, dans un communiquépublié lundi sur le site de l'UA, sur l'impératif essentiel de mettre en oeuvre "un cessez-le-feu complet et sans conditions, le respect de l'embargo de l'Onu sur les armes et la nécessité de poursuivre en justice les contrevenants". M. Mahamat a appelé, une nouvelle fois, au "retour d'un processus politique inclusif mené et contrôlé par les Libyens et qui comprenne un mécanisme de suivi efficace", selon le communiqué de l'UA publié dans la foulée de la Conférence de haut niveau sur la Libye à Berlin, la capitale de l'Allemagne.
Le président de la Commission de l'UA a aussi souligné que la position de l'organisation panafricaine sur la Libye était "claire : aucune solution militaire ne peut résoudre ce conflit et chaque solution doit inclure un processus politique mené par la Libye et comprenant un dialogue inclusif". Le Comité de haut niveau de l'UA sur la Libye, qui a été créé en 2011 peu après le déclenchement de la crise libyenne, devrait organiser le 30 janvier une réunion de suivi dans la capitale de la République du Congo Brazzaville. La réunion devra évaluer l'évolution de la situation en Libye en amont du prochain Sommet des chefs d'Etat et de gouvernement africains, qui aura lieu les 9 et 10 février au siège de l'UA dans la capitale éthiopienne Addis- a indiqué l'UA.


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