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L'Algérie : un état référence Paix et réconciliation



L'Algérie : un état référence                                    Paix et réconciliation
La conférence-débat, organisée par le ministère des Affaires étrangères, mercredi dernier, la veille de la commémoration du 58e anniversaire du déclenchement de la Révolution a permis aux participants de mettre en exergue l'esprit positif véhiculé par la révolution de Novembre 1954. A l'issue de son intervention, le chef de la diplomatie algérienne, Mourad Medelci, a indiqué à la presse en marge de cette conférence-débat, que l'Algérie était un état référence en matière de paix et de réconciliation grâce à «l'esprit positif véhiculé par la Révolution». Le ministre des Affaires étrangères souligne que l'Algérie «qui est aujourd'hui un modèle pour les autres est prête à partager son expérience pour qu'ils puissent en profiter et s'en imprégner». Selon le chef de la diplomatie algérienne «notre responsabilité envers les autres est aujourd'hui plus grande que jamais», précisant que l'esprit qui prévalait chez les Algériens durant la guerre de Libération nationale était inspiré de l'amour de la patrie et fondé sur la bonne organisation et la discipline. Tous ces facteurs confondus, affirme-t-il «ont contribué au déclenchement de la flamme de la Révolution qui a illuminé toute l'Algérie et même tous les peuples épris de paix et de liberté». Dans ce cadre, Mourad Medelci, rappelle que «aujourd'hui nous avons grand besoin de paix et nous devons 'uvrer à travers notre expérience pionnière à la consécration de la culture de la paix et de la réconciliation», insistant sur «l'importance d'inculquer aux générations montantes l'esprit de patriotisme véhiculé par la Révolution». De son côté, Ali Haroun, ancien responsable de la Fédération de France du Front de libération nationale a souligné le «rôle important» joué durant la guerre de Libération nationale, par cette fédération. L'orateur souligne que, «la Fédération de France du FLN a été d'un apport très précieux pour la guerre de libération et a joué un rôle très important aussi bien au niveau de la mobilisation des Algériens en France qu'au plan du financement de la Révolution», L'ancien membre du Haut-Comité d'Etat a revisité l'histoire et évoqué les circonstances ayant entouré la création de la Fédération de France du FLN, rappelant les efforts et les sacrifices consentis par les membres de cette structure pour mobiliser l'émigration algérienne autour de leur révolution. Selon lui, la «bonne organisation» et la «structuration solide» ont permis la réussite de toutes les actions menées sur le territoire français pour montrer, a-t-il dit, «la justesse» de la cause algérienne. L'ancien responsable de la Fédération de France n'a pas manqué de souligner que «grâce aux cotisations des Algériens établis en France, près de 80% du financement du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) était assuré par la Fédération de France du FLN». Il a également mis en évidence les persécutions endurées par les membres de la Fédération, rappelant que plusieurs d'entre eux ont été capturés et confinés dans des camps d'internement, alors que d'autres ont été guillotinés. Le conférencier précisera aussi qu'il y avait nécessité de mobiliser toutes les composantes de la société pour déclencher la guerre de Libération nationale. C'est là, a-t-il précisé, le «secret de notre réussite».
La conférence-débat, organisée par le ministère des Affaires étrangères, mercredi dernier, la veille de la commémoration du 58e anniversaire du déclenchement de la Révolution a permis aux participants de mettre en exergue l'esprit positif véhiculé par la révolution de Novembre 1954. A l'issue de son intervention, le chef de la diplomatie algérienne, Mourad Medelci, a indiqué à la presse en marge de cette conférence-débat, que l'Algérie était un état référence en matière de paix et de réconciliation grâce à «l'esprit positif véhiculé par la Révolution». Le ministre des Affaires étrangères souligne que l'Algérie «qui est aujourd'hui un modèle pour les autres est prête à partager son expérience pour qu'ils puissent en profiter et s'en imprégner». Selon le chef de la diplomatie algérienne «notre responsabilité envers les autres est aujourd'hui plus grande que jamais», précisant que l'esprit qui prévalait chez les Algériens durant la guerre de Libération nationale était inspiré de l'amour de la patrie et fondé sur la bonne organisation et la discipline. Tous ces facteurs confondus, affirme-t-il «ont contribué au déclenchement de la flamme de la Révolution qui a illuminé toute l'Algérie et même tous les peuples épris de paix et de liberté». Dans ce cadre, Mourad Medelci, rappelle que «aujourd'hui nous avons grand besoin de paix et nous devons 'uvrer à travers notre expérience pionnière à la consécration de la culture de la paix et de la réconciliation», insistant sur «l'importance d'inculquer aux générations montantes l'esprit de patriotisme véhiculé par la Révolution». De son côté, Ali Haroun, ancien responsable de la Fédération de France du Front de libération nationale a souligné le «rôle important» joué durant la guerre de Libération nationale, par cette fédération. L'orateur souligne que, «la Fédération de France du FLN a été d'un apport très précieux pour la guerre de libération et a joué un rôle très important aussi bien au niveau de la mobilisation des Algériens en France qu'au plan du financement de la Révolution», L'ancien membre du Haut-Comité d'Etat a revisité l'histoire et évoqué les circonstances ayant entouré la création de la Fédération de France du FLN, rappelant les efforts et les sacrifices consentis par les membres de cette structure pour mobiliser l'émigration algérienne autour de leur révolution. Selon lui, la «bonne organisation» et la «structuration solide» ont permis la réussite de toutes les actions menées sur le territoire français pour montrer, a-t-il dit, «la justesse» de la cause algérienne. L'ancien responsable de la Fédération de France n'a pas manqué de souligner que «grâce aux cotisations des Algériens établis en France, près de 80% du financement du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) était assuré par la Fédération de France du FLN». Il a également mis en évidence les persécutions endurées par les membres de la Fédération, rappelant que plusieurs d'entre eux ont été capturés et confinés dans des camps d'internement, alors que d'autres ont été guillotinés. Le conférencier précisera aussi qu'il y avait nécessité de mobiliser toutes les composantes de la société pour déclencher la guerre de Libération nationale. C'est là, a-t-il précisé, le «secret de notre réussite».


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