Algérie

L'Algérie perd une place dans l'Indice Transparency



Le dernier classement de Transparency International (TI), ayant pour principale vocation la lutte contre la corruption des gouvernements et les institutions gouvernementales mondiales, vient de dévoiler son rapport annuel de 2019 sur l'Indice de perception de la corruptionLe dernier classement de Transparency International (TI), ayant pour principale vocation la lutte contre la corruption des gouvernements et les institutions gouvernementales mondiales, vient de dévoiler son rapport annuel de 2019 sur l'Indice de perception de la corruption
(IPC) dans le monde, en classant l'Algérie à la 106e place sur 180 pays, avec un score de 35 sur 100. Soit un léger recul au classement comparativement à 2018, lorsqu' elle avait occupé la 105e position, avec le même score 35 /100. Dans ce dernier classement de l'Indice de perception de la corruption (IPC) dans le monde, l'Algérie se trouve dans une position des plus déplaisantes, puisqu'elle se situe derrière le voisin marocain (80e), avec un score de 41 points sur 100 et les Tunisiens (74e), avec un score de 73/100.
Au niveau africain, l'Algérie est aussi loin derrière des pays comme le Burkina Faso (85e), l'Afrique du Sud (70e), le Sénégal (66e) ou encore le Rwanda (57e). Selon le classement de 2019, le Botswana est le pays africain qui le moins de corruption en occupant la 34e place avec un score de 61 sur 100. Il est suivi par l'île Maurice en deux positions sur le Continent en arrivant au 56 e rang. L'indice de perception de la corruption, pour rappel, est calculé à partir de l'opinion d'experts sur la corruption dans le secteur public. D'après Transparency International (TI), les pays ayant obtenu une note élevée disposent souvent d'une "administration transparente permettant aux citoyens de demander des comptes à leurs responsables". Alors qu'une mauvaise note signale, quant à elle, "un recours systématique à des pots-de-vin, l'absence de sanctions en cas de corruption et une inéquation entre les activités de l'administration et les besoins de la population".
Un constat avalisé par l'AACC qui, ces dernières années, n'a pas cessé de déplorer la "généralisation" de la corruption et d'alerter sur les dégâts de ce fléau qui "menace gravement la stabilité et la sécurité du pays". Et ce, malgré le programme de réformes initié pour la consolidation de l'Etat de droit, de la bonne gouvernance et du développement durable
(IPC) dans le monde, en classant l'Algérie à la 106e place sur 180 pays, avec un score de 35 sur 100. Soit un léger recul au classement comparativement à 2018, lorsqu' elle avait occupé la 105e position, avec le même score 35 /100. Dans ce dernier classement de l'Indice de perception de la corruption (IPC) dans le monde, l'Algérie se trouve dans une position des plus déplaisantes, puisqu'elle se situe derrière le voisin marocain (80e), avec un score de 41 points sur 100 et les Tunisiens (74e), avec un score de 73/100.
Au niveau africain, l'Algérie est aussi loin derrière des pays comme le Burkina Faso (85e), l'Afrique du Sud (70e), le Sénégal (66e) ou encore le Rwanda (57e). Selon le classement de 2019, le Botswana est le pays africain qui le moins de corruption en occupant la 34e place avec un score de 61 sur 100. Il est suivi par l'île Maurice en deux positions sur le Continent en arrivant au 56 e rang. L'indice de perception de la corruption, pour rappel, est calculé à partir de l'opinion d'experts sur la corruption dans le secteur public. D'après Transparency International (TI), les pays ayant obtenu une note élevée disposent souvent d'une "administration transparente permettant aux citoyens de demander des comptes à leurs responsables". Alors qu'une mauvaise note signale, quant à elle, "un recours systématique à des pots-de-vin, l'absence de sanctions en cas de corruption et une inéquation entre les activités de l'administration et les besoins de la population".
Un constat avalisé par l'AACC qui, ces dernières années, n'a pas cessé de déplorer la "généralisation" de la corruption et d'alerter sur les dégâts de ce fléau qui "menace gravement la stabilité et la sécurité du pays". Et ce, malgré le programme de réformes initié pour la consolidation de l'Etat de droit, de la bonne gouvernance et du développement durable


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