L'Algérie participera à la 18e conférence de l'Onu à Doha Changements climatiques

L'Algérie sera présente à la 18e conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui aura lieu à Doha (Qatar) du 26 novembre au 7 décembre, c'est ce qu'a indiqué dimanche Amar Belani, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Les participants à cette conférence auront à examiner un certain nombre de questions "déterminantes", notamment, celle liée au sort du protocole de Kyoto, dont la première période d'engagement arrivera à expiration le 31 décembre prochain, a précisé M. Belani.
Les participants auront, également, à débattre de la question du "financement à long terme au profit des pays en développement et de l'opérationnalisation du mécanisme de transfert de technologie, du comité d'adaptation ainsi que plusieurs thématiques liées à l'agriculture, le transport aérien et maritime et la capture et la séquestration du carbone dans les formations géologiques", a-t-il ajouté.
Les négociations sur un nouvel instrument juridique "contraignant" sur le climat à l'horizon 2015, devant entrer en vigueur en 2020, se poursuivront également à Doha.
Outre sa capacité nationale, en tant que partie à la Convention sur les changements climatiques, la délégation algérienne prendra part à cette conférence en tant que président du groupe des 77 et la Chine.
L'Algérie sera présente à la 18e conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui aura lieu à Doha (Qatar) du 26 novembre au 7 décembre, c'est ce qu'a indiqué dimanche Amar Belani, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Les participants à cette conférence auront à examiner un certain nombre de questions "déterminantes", notamment, celle liée au sort du protocole de Kyoto, dont la première période d'engagement arrivera à expiration le 31 décembre prochain, a précisé M. Belani.
Les participants auront, également, à débattre de la question du "financement à long terme au profit des pays en développement et de l'opérationnalisation du mécanisme de transfert de technologie, du comité d'adaptation ainsi que plusieurs thématiques liées à l'agriculture, le transport aérien et maritime et la capture et la séquestration du carbone dans les formations géologiques", a-t-il ajouté.
Les négociations sur un nouvel instrument juridique "contraignant" sur le climat à l'horizon 2015, devant entrer en vigueur en 2020, se poursuivront également à Doha.
Outre sa capacité nationale, en tant que partie à la Convention sur les changements climatiques, la délégation algérienne prendra part à cette conférence en tant que président du groupe des 77 et la Chine.