S'adressant aux représentants des 250 exposants dont 25 étrangers, le ministre du Tourisme, Smail Mimoune, a souligné lors d'une conférence de presse organisée, hier, que «nous avons participé à l'ensemble des salons internationaux afin de viser les marchés extérieurs. Il s'agit d'attirer les touristes en rétablissant la confiance et la restructuration de la destination Algérie. Aussi, la concurrence joue un rôle important entre les opérateurs économiques algériens et les opérateurs étrangers».
Il a également dit que «chacun doit jouer son rôle dans la chaîne des circuits touristiques, par exemple, Bou Saada Biskra, le Grand Sud, c'est à dire la boucle des oasis. Il faut aussi échanger les expériences et le savoir-faire entre les nationaux et les étrangers en utilisant les technologies des TIC. L'Algérie ne doit pas être intravertie sur le plan touristique et proposer aux citoyens des formules touristiques pour les vacances».
Par ailleurs, le ministre a indiqué que
«les chiffres de la PAF et des Douanes nous indiquent que les choses se passent bien concernant le flux et la croissance des touristes étrangers de l'ordre de 35 % par rapport à 2011».
L'Etat n'investit plus dans le tourisme, mais il a un rôle d'orientation et législatif en octroyant des lignes de crédit bancaire et en préconisant l'amélioration des prestations de services. Il faut mettre l'accent sur la formation et rassurer une clientèle qui devient de plus en plus exigeante, selon M. Mimoune.
S'adressant aux représentants des 250 exposants dont 25 étrangers, le ministre du Tourisme, Smail Mimoune, a souligné lors d'une conférence de presse organisée, hier, que «nous avons participé à l'ensemble des salons internationaux afin de viser les marchés extérieurs. Il s'agit d'attirer les touristes en rétablissant la confiance et la restructuration de la destination Algérie. Aussi, la concurrence joue un rôle important entre les opérateurs économiques algériens et les opérateurs étrangers».
Il a également dit que «chacun doit jouer son rôle dans la chaîne des circuits touristiques, par exemple, Bou Saada Biskra, le Grand Sud, c'est à dire la boucle des oasis. Il faut aussi échanger les expériences et le savoir-faire entre les nationaux et les étrangers en utilisant les technologies des TIC. L'Algérie ne doit pas être intravertie sur le plan touristique et proposer aux citoyens des formules touristiques pour les vacances».
Par ailleurs, le ministre a indiqué que
«les chiffres de la PAF et des Douanes nous indiquent que les choses se passent bien concernant le flux et la croissance des touristes étrangers de l'ordre de 35 % par rapport à 2011».
L'Etat n'investit plus dans le tourisme, mais il a un rôle d'orientation et législatif en octroyant des lignes de crédit bancaire et en préconisant l'amélioration des prestations de services. Il faut mettre l'accent sur la formation et rassurer une clientèle qui devient de plus en plus exigeante, selon M. Mimoune.
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Posté Le : 17/05/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A A
Source : www.lemidi-dz.com