l’Algérie n’a pas de problème de sécurité d’après Petrofac

Le problème de la sécurité ne se pose nullement en Algérie, et "nous comptons y rester le plus longtemps possible", a déclaré hier à Londres le vice-président du développement de la compagnie britannique Petrofac, Peter Ireton, lors d’un séminaire sur les opportunités d’investissement en Algérie dans le secteur de l’énergie. "Nous sommes présents en Algérie depuis 1997, dans le domaine des services pétroliers et gaziers, nous n’avons pas rencontré de problèmes lié à la sécurité, au contraire le climat des affaires est excellent à tel point que nous envisageons actuellement de développer davantage nos activités dans ce pays", a déclaré M. Ireton qui a présenté un exposé sur les activités de Petrofac en Algérie. Petrofac, qui participe au développement du projet "In Salah gaz" en partenariat avec d’autres compagnies, gère un centre de formation de jeunes à Hassi Messaoud. Ce projet, d’un coût de 7 millions de dollars, a pour objectif de doter en main-d’œuvre qualifiée le projet El Merk, a-t-il précisé. Le contrat signé par Petrofac dans le projet El Merk porte sur la réalisation des installations de traitement d’huile, condensat et récupération de GPL. Cette société emploie plus de 700 personnes dans les différents sites en Algérie (expatriés et Algériens) et compte augmenter son personnel. Le séminaire sur les opportunités d’investissement en Algérie a regroupé une cinquantaine d’hommes d’affaires britanniques.