L'Algérie et l'Egypte sur la même longueur d'ondes

Les relations algéro-égyptiennes connaissent un nouveau souffle depuis l'installation du nouveau président égyptien. La dernière visite du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le confirme. D'ailleurs les deux pays semblent être sur la même longueur d'ondes en ce qui concerne la situation qui prévaut dans certains pays arabes.Les relations algéro-égyptiennes connaissent un nouveau souffle depuis l'installation du nouveau président égyptien. La dernière visite du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le confirme. D'ailleurs les deux pays semblent être sur la même longueur d'ondes en ce qui concerne la situation qui prévaut dans certains pays arabes.Les deux parties ont exprimé ainsi leur préoccupation quant à la détérioration de la situation sécuritaire et politique en Libye appelant "toutes les parties dans ce pays à favoriser le dialogue afin de parvenir à une solution politique consensuelle impliquant tous les Libyens qui rejettent la violence tout en oeuvrant à la neutralisation des groupes terroristes". Estimant qu'une solution militaire à la crise syrienne est loin d'être efficace, les deux parties ont souligné la nécessité d'interrompre les opérations militaires et l'ingérence étrangère.Ils ont insisté à cet effet sur la nécessité de trouver une solution globale devant mettre fin à l'effusion de sang et préserver l'intégrité territoriale et l'unité de la Syrie. Ils ont réaffirmé en outre les positions indéfectibles de l'Algérie et de l'Egypte vis-à-vis de l'Irak notamment pour ce qui est de l'unité et de l'intégrité territoriale de ce pays tout en condamnant le terrorisme sous toutes ses formes. Ils ont réaffirmé leur soutien au nouveau gouvernement irakien.Sur le plan africain, l'Egypte a salué les efforts de l'Algérie en faveur du processus des négociations en cours concernant le Mali.Les deux parties ont affirmé leur soutien au processus des négociations entre les Maliens pour une solution garantissant l'unité du Mali et la paix et la sécurité dans la région du Sahel. Ils ont souligné l'importance de la coopération bilatérale et entre les pays du continent dans le domaine de la lutte contre la menace terroriste et extrémiste que constituent les organisations terroristes transfrontalières. Les deux parties ont souligné la nécessité de tarir les sources de financement du terrorisme et de criminaliser le versement de rançon.Les deux parties ont exprimé ainsi leur préoccupation quant à la détérioration de la situation sécuritaire et politique en Libye appelant "toutes les parties dans ce pays à favoriser le dialogue afin de parvenir à une solution politique consensuelle impliquant tous les Libyens qui rejettent la violence tout en oeuvrant à la neutralisation des groupes terroristes". Estimant qu'une solution militaire à la crise syrienne est loin d'être efficace, les deux parties ont souligné la nécessité d'interrompre les opérations militaires et l'ingérence étrangère.Ils ont insisté à cet effet sur la nécessité de trouver une solution globale devant mettre fin à l'effusion de sang et préserver l'intégrité territoriale et l'unité de la Syrie. Ils ont réaffirmé en outre les positions indéfectibles de l'Algérie et de l'Egypte vis-à-vis de l'Irak notamment pour ce qui est de l'unité et de l'intégrité territoriale de ce pays tout en condamnant le terrorisme sous toutes ses formes. Ils ont réaffirmé leur soutien au nouveau gouvernement irakien.Sur le plan africain, l'Egypte a salué les efforts de l'Algérie en faveur du processus des négociations en cours concernant le Mali.Les deux parties ont affirmé leur soutien au processus des négociations entre les Maliens pour une solution garantissant l'unité du Mali et la paix et la sécurité dans la région du Sahel. Ils ont souligné l'importance de la coopération bilatérale et entre les pays du continent dans le domaine de la lutte contre la menace terroriste et extrémiste que constituent les organisations terroristes transfrontalières. Les deux parties ont souligné la nécessité de tarir les sources de financement du terrorisme et de criminaliser le versement de rançon.