Algérie

L'Algérie et l'Arabie saoudite optimistes



L'Algérie et l'Arabie saoudite ont affiché leur optimisme quant à la stabilisation du marché pétrolier et au rétablissement des prix, suite aux décisions relatives à la reconduction de la baisse de production.L'Algérie et l'Arabie saoudite ont affiché leur optimisme quant à la stabilisation du marché pétrolier et au rétablissement des prix, suite aux décisions relatives à la reconduction de la baisse de production.
La reconduction de la baisse a été approuvée, pour rappel, lors de la 179e réunion de l'Opep et de la 11e réunion ministérielle des membres Opepet non Opep tenue samedi dernier. Il s'agit principalement de la décision de baisse de la production du pétrole de 9,7 millions de barils/jour en juin courant,de 9,6 millions de barils/jour en juillet et de 7,7 millions de baril/jour à partirdu 1er août jusqu'à la fin du mois de décembre 2020.Ces baisses seront suivies d'une réduction de la production de 5,8 millions de barils/jour à partir du 1er janvier 2010 jusqu'à avril 2022. Les résultats des réunions de samedi dernier étaient "exceptionnels", notamment en ce qui concerne l'adoption d'un mécanisme d'indemnisation pour les paysn'étant pas parvenus à atteindre la pleine conformité avec l'accord du 12 avril dernier durant les mois de mai et de juin, a déclaré M. Arkab, mardi soir à la télévision algérienne,en réponse à une question sur l'impact l'accord de l'Opep+ surle rétablissement des prix du pétrole.
"Nous avons mis à l'aise les pays concernés pour rattraper l'écart et appliquer l'accord durant les mois de juillet et d'août 2020", a-t-il dit, ajoutant que le mécanisme d'indemnisation quin'existait pas auparavant a donné "davantage de flexibilité dans l'application de l'accord sur la baisse de production et à surmonter la tension engendrée par le non respect de l'application, à 100 % , de l'accord sur la baisse de la production par certains pays, contrairement à d'autres qui ont honoré leurs engagements". Il a appelé, une nouvelle fois, les pays concernés à appliquer l'accord à 100 %. Il a insisté également sur l'importance de cette décision relative à la réunion de le comité ministériel mixte de suivi de l'accord de baisse de la production qui assure mensuellement le suivi de la mise en application de l'accord sur la baisse de la production.
Le ministre a mis l'accent, en outre, sur la pleine coopération entre l'Opep et ses alliés pour un marché stable devant servir l'intérêt mutuel des pays producteurs, assurer un approvisionnementefficace et sécurisé des consommateurs et servir l'économie mondiale. De même qu'il a rappelé les ajustements supplémentaires volontaires de production annoncés par l'Arabie saoudite (1 million baril/j), les Emirats arabes unis (100.000 b/j), le Koweït (80.000 b/j) etmle sultanat d'Oman (10.000 à 15.000 b/j) prévus durant le mois en cours censés contribuer, selon lui, à la relance du marché pétrolier, d'autant plus que les cours de l'or noir sont repartis à la hausse lors du premier mois de l'accord. Participant par visioconférence àm l'émission télévisée, le ministre saoudien de l'Energie, en l'occurrence le prince Abdulaziz Ben Salmane s'est dit convaincu que "les pays de l'Opep sont en mesure de faire face à cette situation marquée par l'impact du coronavirus sur le marché pétrolier et s'en sortiront rassurés".
Cependant, il y a un effort qui doit être déployé par l'implication de tous les membres, a-t-il dit, faisant allusion au respect impératif par les pays signataires de l'accord de coopération d'appliquer la réduction de la production. Au sujet d'une seconde vague du coronavirus évoqué par des experts, le prince saoudien a affirmé que "nous allons faire avec, il ne faudrait pas baisser les bras, et je ne vois se profiler aucun recul, si l'on se réfère à celui de 30 % de la demande relevé en avril dernier, et c'est du jamais vu auparavant". Toutefois, le ministre saoudien n'a pas nié que les dernières réunions de l'Opep et l'Opep+ ont connu "une certaine tension" en raison du non respect par certains pays de l'accord à 100 %, au moment ou d'autres, à l'instar de l'Algérie et de l'Arabie saoudite se sont conformés au taux arrêté.
Et "nous avons rapidement dépassé cette étape grâce à la conscience de tous les membres de l'importance de réaliser la stabilité du marché pétrolier", a-t-il encore soutenu, exprimant sa conviction de l'impératif pour les pays signataires d'appliquer le texte de cet accord sur la réduction de la production car "le non respect de celui ci impactera non seulement le pays concerné mais l'ensemble des Etats membres". Le prince Ben Salmane a tenu à mettre au clair que son pays mettait "tous les conflits de côté lorsqu'il s'agit de mener à bien la contribution du cadre Opep et Opep+ dans la stabilité du marché pétrolier". A noter que la prochaine réunion du Comité ministériel mixte de suivi (JMMC) est fixée au 18 juin, tandis que les pays de l'Opep et non Opep se sont mis d'accord sur la tenue d'une réunion ministérielle à Vienne le 1er décembre 2020.
La reconduction de la baisse a été approuvée, pour rappel, lors de la 179e réunion de l'Opep et de la 11e réunion ministérielle des membres Opepet non Opep tenue samedi dernier. Il s'agit principalement de la décision de baisse de la production du pétrole de 9,7 millions de barils/jour en juin courant,de 9,6 millions de barils/jour en juillet et de 7,7 millions de baril/jour à partirdu 1er août jusqu'à la fin du mois de décembre 2020.Ces baisses seront suivies d'une réduction de la production de 5,8 millions de barils/jour à partir du 1er janvier 2010 jusqu'à avril 2022. Les résultats des réunions de samedi dernier étaient "exceptionnels", notamment en ce qui concerne l'adoption d'un mécanisme d'indemnisation pour les paysn'étant pas parvenus à atteindre la pleine conformité avec l'accord du 12 avril dernier durant les mois de mai et de juin, a déclaré M. Arkab, mardi soir à la télévision algérienne,en réponse à une question sur l'impact l'accord de l'Opep+ surle rétablissement des prix du pétrole.
"Nous avons mis à l'aise les pays concernés pour rattraper l'écart et appliquer l'accord durant les mois de juillet et d'août 2020", a-t-il dit, ajoutant que le mécanisme d'indemnisation quin'existait pas auparavant a donné "davantage de flexibilité dans l'application de l'accord sur la baisse de production et à surmonter la tension engendrée par le non respect de l'application, à 100 % , de l'accord sur la baisse de la production par certains pays, contrairement à d'autres qui ont honoré leurs engagements". Il a appelé, une nouvelle fois, les pays concernés à appliquer l'accord à 100 %. Il a insisté également sur l'importance de cette décision relative à la réunion de le comité ministériel mixte de suivi de l'accord de baisse de la production qui assure mensuellement le suivi de la mise en application de l'accord sur la baisse de la production.
Le ministre a mis l'accent, en outre, sur la pleine coopération entre l'Opep et ses alliés pour un marché stable devant servir l'intérêt mutuel des pays producteurs, assurer un approvisionnementefficace et sécurisé des consommateurs et servir l'économie mondiale. De même qu'il a rappelé les ajustements supplémentaires volontaires de production annoncés par l'Arabie saoudite (1 million baril/j), les Emirats arabes unis (100.000 b/j), le Koweït (80.000 b/j) etmle sultanat d'Oman (10.000 à 15.000 b/j) prévus durant le mois en cours censés contribuer, selon lui, à la relance du marché pétrolier, d'autant plus que les cours de l'or noir sont repartis à la hausse lors du premier mois de l'accord. Participant par visioconférence àm l'émission télévisée, le ministre saoudien de l'Energie, en l'occurrence le prince Abdulaziz Ben Salmane s'est dit convaincu que "les pays de l'Opep sont en mesure de faire face à cette situation marquée par l'impact du coronavirus sur le marché pétrolier et s'en sortiront rassurés".
Cependant, il y a un effort qui doit être déployé par l'implication de tous les membres, a-t-il dit, faisant allusion au respect impératif par les pays signataires de l'accord de coopération d'appliquer la réduction de la production. Au sujet d'une seconde vague du coronavirus évoqué par des experts, le prince saoudien a affirmé que "nous allons faire avec, il ne faudrait pas baisser les bras, et je ne vois se profiler aucun recul, si l'on se réfère à celui de 30 % de la demande relevé en avril dernier, et c'est du jamais vu auparavant". Toutefois, le ministre saoudien n'a pas nié que les dernières réunions de l'Opep et l'Opep+ ont connu "une certaine tension" en raison du non respect par certains pays de l'accord à 100 %, au moment ou d'autres, à l'instar de l'Algérie et de l'Arabie saoudite se sont conformés au taux arrêté.
Et "nous avons rapidement dépassé cette étape grâce à la conscience de tous les membres de l'importance de réaliser la stabilité du marché pétrolier", a-t-il encore soutenu, exprimant sa conviction de l'impératif pour les pays signataires d'appliquer le texte de cet accord sur la réduction de la production car "le non respect de celui ci impactera non seulement le pays concerné mais l'ensemble des Etats membres". Le prince Ben Salmane a tenu à mettre au clair que son pays mettait "tous les conflits de côté lorsqu'il s'agit de mener à bien la contribution du cadre Opep et Opep+ dans la stabilité du marché pétrolier". A noter que la prochaine réunion du Comité ministériel mixte de suivi (JMMC) est fixée au 18 juin, tandis que les pays de l'Opep et non Opep se sont mis d'accord sur la tenue d'une réunion ministérielle à Vienne le 1er décembre 2020.


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