Algérie

L'Algérie "dernière de la classe"



L'Algérie
Un rapport publié mercredi par le Forum économique mondial relève une nouvelle fois le retard pris par l'Algérie dans le domaine des nouvelles technologies. Bon dernier au niveau maghrébin, le pays ne brille pas selon le récent "Global Information Technology Report 2016".Un rapport publié mercredi par le Forum économique mondial relève une nouvelle fois le retard pris par l'Algérie dans le domaine des nouvelles technologies. Bon dernier au niveau maghrébin, le pays ne brille pas selon le récent "Global Information Technology Report 2016".L?étude, effectuée en collaboration avec l?Institut européen d?administration des affaires (INSEAD), classe l?Algérie à la 117e place mondiale (sur 139 pays) avec un score de 3,2 sur une échelle de 1 à 7. Des performances qui stagnent si on compare ces chiffres à ceux du rapport de 2015 où l?Algérie pointait à la 120e place sur 143 pays avec 3,1 points.L?étude du Forum économique mondial s?appuie principalement sur l?indice de préparation aux réseaux (NRI). Un indicateur principal qui se base lui-même sur dix sous-indices regroupés en quatre axes principaux : l?environnement (131e), la disponibilité (95e), l?utilisation (125e) et enfin l?impact social et économique des technologies de l?information et de la communication (129e).Contrairement au Maroc (78e) et à la Tunisie (81e), l?Algérie accuse un retard conséquent dans une majorité des domaines passés à la loupe par l?organisation. Et c?est en matière d?environnement que le classement est le moins glorieux puisque le pays peine à la 131e place. Ce sous-indicateur qui se base sur l?environnement politique et économique montre qu?il y a un manque de concurrence dans le secteur des TIC et qu?il existe toujours des difficultés dans les procédures de création d?entreprise.Il ressort également de ce rapport que les entreprises ont encore du mal à utiliser les nouvelles technologies. C?est notamment vrai pour les relations que ces structures entretiennent avec leurs clients. Pour ce sous-indicateur, l?Algérie se place 128e. D?après le rapport, les TIC ne sont pas non plus utilisées en interne pour la formation du personnel.Ce peu d?entrain pour les nouvelles technologies est aussi visible du côté des services publics. Selon le Forum économique mondial, il n?y aurait pas une véritable vision à long terme en matière de TIC de la part du gouvernement (119e).Par conséquent, l?impact social des nouvelles technologies reste limité pour les citoyens, avec un mauvais score en matière d?accessibilité de l?internet dans les écoles et un impact minime des TIC dans l?accès aux services de base. Ces dernières années, il y a pourtant un indice sur lequel l?Algérie marque des points : il s?agit de l?amélioration des infrastructures.En effet, le pays fait mieux au niveau de l?accessibilité du réseau mobile, avec une couverture qui s?est étendue. Reste désormais à améliorer le service et en particulier le débit de connexion internet puisque l?on reste l?une des zones où la connexion mobile et la plus lente. La sécurisation des données informatiques est également un enjeu important. Sur ce point l?Algérie recule par rapport à 2015 et se classe actuellement à la 122e place.L?étude, effectuée en collaboration avec l?Institut européen d?administration des affaires (INSEAD), classe l?Algérie à la 117e place mondiale (sur 139 pays) avec un score de 3,2 sur une échelle de 1 à 7. Des performances qui stagnent si on compare ces chiffres à ceux du rapport de 2015 où l?Algérie pointait à la 120e place sur 143 pays avec 3,1 points.L?étude du Forum économique mondial s?appuie principalement sur l?indice de préparation aux réseaux (NRI). Un indicateur principal qui se base lui-même sur dix sous-indices regroupés en quatre axes principaux : l?environnement (131e), la disponibilité (95e), l?utilisation (125e) et enfin l?impact social et économique des technologies de l?information et de la communication (129e).Contrairement au Maroc (78e) et à la Tunisie (81e), l?Algérie accuse un retard conséquent dans une majorité des domaines passés à la loupe par l?organisation. Et c?est en matière d?environnement que le classement est le moins glorieux puisque le pays peine à la 131e place. Ce sous-indicateur qui se base sur l?environnement politique et économique montre qu?il y a un manque de concurrence dans le secteur des TIC et qu?il existe toujours des difficultés dans les procédures de création d?entreprise.Il ressort également de ce rapport que les entreprises ont encore du mal à utiliser les nouvelles technologies. C?est notamment vrai pour les relations que ces structures entretiennent avec leurs clients. Pour ce sous-indicateur, l?Algérie se place 128e. D?après le rapport, les TIC ne sont pas non plus utilisées en interne pour la formation du personnel.Ce peu d?entrain pour les nouvelles technologies est aussi visible du côté des services publics. Selon le Forum économique mondial, il n?y aurait pas une véritable vision à long terme en matière de TIC de la part du gouvernement (119e).Par conséquent, l?impact social des nouvelles technologies reste limité pour les citoyens, avec un mauvais score en matière d?accessibilité de l?internet dans les écoles et un impact minime des TIC dans l?accès aux services de base. Ces dernières années, il y a pourtant un indice sur lequel l?Algérie marque des points : il s?agit de l?amélioration des infrastructures.En effet, le pays fait mieux au niveau de l?accessibilité du réseau mobile, avec une couverture qui s?est étendue. Reste désormais à améliorer le service et en particulier le débit de connexion internet puisque l?on reste l?une des zones où la connexion mobile et la plus lente. La sécurisation des données informatiques est également un enjeu important. Sur ce point l?Algérie recule par rapport à 2015 et se classe actuellement à la 122e place.


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