Algérie

L'Algérie à la 164e place pour la création d'entreprises



L'Algérie à la 164e place pour la création d'entreprises
Le climat des affaires en Algérie est globalement dans le rouge. C'est ce que vient d'annoncer le rapport 2014 "Doing Business" de la Banque mondiale. Sur les 185 pays étudiés au niveau économique, l'Algérie décroche la 153e place du rapport. Ainsi, l'Algérie perd 2 places en comparaison avec le rapport de 2013 où elle était classée à la 151e place.Le climat des affaires en Algérie est globalement dans le rouge. C'est ce que vient d'annoncer le rapport 2014 "Doing Business" de la Banque mondiale. Sur les 185 pays étudiés au niveau économique, l'Algérie décroche la 153e place du rapport. Ainsi, l'Algérie perd 2 places en comparaison avec le rapport de 2013 où elle était classée à la 151e place.Concernant l'indicateur « Starting a business » (Créer une entreprise), l'Algérie a perdu 5 places en se classant à 164e place avec 25 jours minimum de procédures pour créer une entité commerciale, ainsi qu'une somme de base de 100.000 DA. L'octroi de permis de construire vaut à l'Algérie la 147e place (- 11places par rapport à 2013) avec 241 jours d'attente au minimum pour obtenir le sésame.Le pays gagne 2 points dans Resolving Insolvency (soit la possibilité de payer ses dettes) et est désormais 60e mondial. Au niveau continental, l'Algérie est, entre autres, dépassée par l'Afrique du Sud (41e), la Tunisie (51e), le Botswana (56e), la Zambie (83e) ou encore le Maroc (87e). Doing Business est un indicateur créé par la Banque mondiale afin de comparer le climat des affaires selon le pays et ce, grâce à la prise en compte d'une dizaine de paramètres. Une publication conjointe de la Banque mondiale et de la Société financière internationale.Doing Business 2014 est le onzième rapport d'une série annuelle sur l'étude des réglementations qui renforcent ou entravent les activités commerciales. Ce rapport présente des indicateurs quantitatifs sur les réglementations des affaires et sur la protection des droits de la propriété qui peuvent être comparés entre 189 économies ? de l'Afghanistan au Zimbabwe ? et sur plusieurs années.Le rapport évalue les réglementations ayant une incidence sur 11 étapes de la vie d'une entreprise : création d'entreprise, obtention de permis de construire, raccordement à l'électricité, transfert de propriété, obtention de prêts, protection des investisseurs, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, exécution des contrats, règlement de l'insolvabilité et embauche de travailleurs. Les données d'embauche des travailleurs ne figurent pas dans le classement de cette année sur la facilité de faire des affaires. Les données du rapport Doing Business2014 ont été actualisées en date du 1er juin 2013.Les indicateurs sont utilisés pour analyser les résultats économiques et identifier les réformes de la réglementation des affaires qui ont porté leurs fruits, les économies où elles ont été adoptées et la raison de leur mise en oeuvre. En 2012/13, 114 économies ont mis en oeuvre 238 réformes réglementaires améliorant l'environnement des affaires, soit 18 % de réformes en plus par rapport à l'année précédente.Si les économies du monde entier suivaient les meilleures pratiques dans le cadre réglementaire de la création d'entreprise, les entrepreneurs consacreraient 45,4 millions de jours en moins à respecter les exigences bureaucratiques. L'Ukraine, le Rwanda, la Fédération de Russie, les Philippines et le Kosovo figurent parmi les économies ayant le plus progressé en 2012/13 dans les domaines étudiés par Doing Business.Les réformes, visant à réduire la complexité et les coûts des procédures réglementaires, restent les plus courantes. Moins d'un tiers des réformes enregistrées par Doing Business depuis 2009 ainsi qu'en 2012/13 se sont concentrées sur le renforcement des institutions juridiques. 9 des 20 économies ayant le plus progressé depuis 2009 font partie de l'Afrique subsaharienne, région qui a aussi enregistré l'amélioration la plus remarquable sur les indicateurs Doing Business au cours des 5 années précédentes.Les économies à faible revenu ont réduit l'écart qui les séparait de lafrontière réglementaire deux fois plus vite que les économies à revenu élevé. Les économies qui ont progressé dans les domaines étudiés par Doing Business sont généralement plus enclines que les autres à mettre en oeuvre des réformes dans d'autres domaines tels que la gouvernance, la santé, l'éducation et l'égalité des sexes. Les économies qui enregistrent de bonnes performances sur les indicateurs Doing Business ne sont pas nécessairement celles où les pouvoirs publics sont de petite taille.Concernant l'indicateur « Starting a business » (Créer une entreprise), l'Algérie a perdu 5 places en se classant à 164e place avec 25 jours minimum de procédures pour créer une entité commerciale, ainsi qu'une somme de base de 100.000 DA. L'octroi de permis de construire vaut à l'Algérie la 147e place (- 11places par rapport à 2013) avec 241 jours d'attente au minimum pour obtenir le sésame.Le pays gagne 2 points dans Resolving Insolvency (soit la possibilité de payer ses dettes) et est désormais 60e mondial. Au niveau continental, l'Algérie est, entre autres, dépassée par l'Afrique du Sud (41e), la Tunisie (51e), le Botswana (56e), la Zambie (83e) ou encore le Maroc (87e). Doing Business est un indicateur créé par la Banque mondiale afin de comparer le climat des affaires selon le pays et ce, grâce à la prise en compte d'une dizaine de paramètres. Une publication conjointe de la Banque mondiale et de la Société financière internationale.Doing Business 2014 est le onzième rapport d'une série annuelle sur l'étude des réglementations qui renforcent ou entravent les activités commerciales. Ce rapport présente des indicateurs quantitatifs sur les réglementations des affaires et sur la protection des droits de la propriété qui peuvent être comparés entre 189 économies ? de l'Afghanistan au Zimbabwe ? et sur plusieurs années.Le rapport évalue les réglementations ayant une incidence sur 11 étapes de la vie d'une entreprise : création d'entreprise, obtention de permis de construire, raccordement à l'électricité, transfert de propriété, obtention de prêts, protection des investisseurs, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, exécution des contrats, règlement de l'insolvabilité et embauche de travailleurs. Les données d'embauche des travailleurs ne figurent pas dans le classement de cette année sur la facilité de faire des affaires. Les données du rapport Doing Business2014 ont été actualisées en date du 1er juin 2013.Les indicateurs sont utilisés pour analyser les résultats économiques et identifier les réformes de la réglementation des affaires qui ont porté leurs fruits, les économies où elles ont été adoptées et la raison de leur mise en oeuvre. En 2012/13, 114 économies ont mis en oeuvre 238 réformes réglementaires améliorant l'environnement des affaires, soit 18 % de réformes en plus par rapport à l'année précédente.Si les économies du monde entier suivaient les meilleures pratiques dans le cadre réglementaire de la création d'entreprise, les entrepreneurs consacreraient 45,4 millions de jours en moins à respecter les exigences bureaucratiques. L'Ukraine, le Rwanda, la Fédération de Russie, les Philippines et le Kosovo figurent parmi les économies ayant le plus progressé en 2012/13 dans les domaines étudiés par Doing Business.Les réformes, visant à réduire la complexité et les coûts des procédures réglementaires, restent les plus courantes. Moins d'un tiers des réformes enregistrées par Doing Business depuis 2009 ainsi qu'en 2012/13 se sont concentrées sur le renforcement des institutions juridiques. 9 des 20 économies ayant le plus progressé depuis 2009 font partie de l'Afrique subsaharienne, région qui a aussi enregistré l'amélioration la plus remarquable sur les indicateurs Doing Business au cours des 5 années précédentes.Les économies à faible revenu ont réduit l'écart qui les séparait de lafrontière réglementaire deux fois plus vite que les économies à revenu élevé. Les économies qui ont progressé dans les domaines étudiés par Doing Business sont généralement plus enclines que les autres à mettre en oeuvre des réformes dans d'autres domaines tels que la gouvernance, la santé, l'éducation et l'égalité des sexes. Les économies qui enregistrent de bonnes performances sur les indicateurs Doing Business ne sont pas nécessairement celles où les pouvoirs publics sont de petite taille.




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