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L'aider à quitter son doudou... Enfant



L'aider à quitter son doudou...                                    Enfant
Les années passent et il serre toujours contre lui ce même doudou ou plutôt ce qui en reste. Que signifie cette habitude et comment l'aider à s'en défaire '
Pourquoi s'attacher
à un doudou '
Dès les premiers mois de la vie, de nombreux bébés choisissent un doudou (savamment appelé "objet transitionnel") qui leur permet de passer du nid maternel au monde extérieur sans heurt. Peu importe la nature du doudou (un bout de drap, une peluche amochée), pourvu que son odeur familière rappellent les parfums de maman, le lait sucré et les draps chauds du berceau. Voilà pourquoi une peluche flambante neuve ne pourra jamais détrôner "le premier doudou" !
Que faire pour que cette relation ne devienne pas
excessive '
Tout dépend de la nature de cette relation. Un doudou qui rassure la nuit, voire même reste au chaud dans le sac à dos, permet à l'enfant de gagner confiance en lui et donc de vivre sereinement les situations qui l'inquiètent. En revanche, un petit continuellement accroché à son bout de couette, sans arrêt risque de s'enfermer sur lui-même. Certes, il prend beaucoup de plaisir dans cette régression mais il se coupe du monde extérieur et s'empêche de grandir.
Quand et comment l'aider
à s'en défaire '
Garder son doudou jour et nuit, pourquoi pas jusqu'à 2 ou 3 ans mais, au-delà, il faut que votre enfant réussisse à s'en séparer au moins quelques heures dans la journée. Au moment de l'inscrire à la crèche par exemple. Arguez qu'un "grand" se débrouille sans doudou. Vous pouvez aussi proposer que le doudou reste dans le cartable, sa présence peut suffire à calmer l'inquiétude de son propriétaire. Enfin, si un enfant de 7 ou 8 ans ne réussit pas à quitter progressivement son doudou et présente par ailleurs d'autres difficultés liées à la séparation, cela mérite peut-être de s'intéresser plus sérieusement au problème. Consulter un spécialiste peut aider à révéler le mal-être que cache ce comportement.
Les années passent et il serre toujours contre lui ce même doudou ou plutôt ce qui en reste. Que signifie cette habitude et comment l'aider à s'en défaire '
Pourquoi s'attacher
à un doudou '
Dès les premiers mois de la vie, de nombreux bébés choisissent un doudou (savamment appelé "objet transitionnel") qui leur permet de passer du nid maternel au monde extérieur sans heurt. Peu importe la nature du doudou (un bout de drap, une peluche amochée), pourvu que son odeur familière rappellent les parfums de maman, le lait sucré et les draps chauds du berceau. Voilà pourquoi une peluche flambante neuve ne pourra jamais détrôner "le premier doudou" !
Que faire pour que cette relation ne devienne pas
excessive '
Tout dépend de la nature de cette relation. Un doudou qui rassure la nuit, voire même reste au chaud dans le sac à dos, permet à l'enfant de gagner confiance en lui et donc de vivre sereinement les situations qui l'inquiètent. En revanche, un petit continuellement accroché à son bout de couette, sans arrêt risque de s'enfermer sur lui-même. Certes, il prend beaucoup de plaisir dans cette régression mais il se coupe du monde extérieur et s'empêche de grandir.
Quand et comment l'aider
à s'en défaire '
Garder son doudou jour et nuit, pourquoi pas jusqu'à 2 ou 3 ans mais, au-delà, il faut que votre enfant réussisse à s'en séparer au moins quelques heures dans la journée. Au moment de l'inscrire à la crèche par exemple. Arguez qu'un "grand" se débrouille sans doudou. Vous pouvez aussi proposer que le doudou reste dans le cartable, sa présence peut suffire à calmer l'inquiétude de son propriétaire. Enfin, si un enfant de 7 ou 8 ans ne réussit pas à quitter progressivement son doudou et présente par ailleurs d'autres difficultés liées à la séparation, cela mérite peut-être de s'intéresser plus sérieusement au problème. Consulter un spécialiste peut aider à révéler le mal-être que cache ce comportement.


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