Il va sans dire que l'épineux problème auquel fait face la clinique Sbihi, en plus du manque flagrant de gynécologues, est la surcharge. Pour ce, la solution préconisée est tout simplement l'allégement de la pression sur cette structure qui ne devrait recevoir que les cas critiques, selon le chargé de communication de la clinique Benmekhlouf Saïd.Pour ce, il est impératif que toutes les structures sanitaires de la wilaya qui sont au nombre de 30, s'impliquent dans la prise en charge des parturientes, et la clinique Sbihi de ce fait ne doit s'occuper que des accouchements qui nécessitent une prise en charge spécialisée, alors que pour le moment 50 % des accouchements de la wilaya se font à notre niveau. Il faut instaurer une synergie de collaboration entre les différentes structures de santé EPH, EPSP, EHS et enfin le CHU qui doit avoir une unité de prise en charge spécialisée puisqu'il dispose des compétences», ajoute-t-il.
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Posté Le : 27/01/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : D I
Source : www.infosoir.com