Secteur névralgique, le bâtiment est dans le rouge. Le plus important reste la sauvegarde de l'emploi où le secteur a perdu plus de 15.000 postes de travail suite à l'impact de la pandémie sanitaire.Secteur névralgique, le bâtiment est dans le rouge. Le plus important reste la sauvegarde de l'emploi où le secteur a perdu plus de 15.000 postes de travail suite à l'impact de la pandémie sanitaire.
L'Association générale des entrepreneurs algériens a tiré la sonnette d'alarme sur la situation préoccupante du BTPH en Algérie. Près de 5.700 entreprises ont disparues au cours de l'année 2020 et 15.000 emplois ont été perdus. Le président de l'AGEA, Mouloud Makhloufi, a alerté les pouvoirs publics sur le site officiel de l'association sur "les risques encourus pour cette année sur toutes les entreprises et particulièrement le secteur du BTPH".
Secteur névralgique, le "bâtiment est dans le rouge" selon le responsable de cette association patronale qui déplore que "les perspectives pour l'année 2021 risquent d'être dures pour le secteur" où le plus important à ses yeux est "la sauvegarde de l'emploi car le secteur a perdu plus de 15.000 postes de travail suite à l'impact de la pandémie virale". Même avec une timide reprise durant la fin 2020, l'AGEA estime que "les pertes essuyées sont énormes" avec peu de commandes publiques sur les chantiers de réalisation. Les grosses entreprises n'ont pas beaucoup souffert après la relance mais le reste des PME qui devaient reprendre au cours de cette année sont dans une situation très difficile où elles risquent à leur tour de fermer causant une autre hémorragie sur l'emploi. Mouloud Makhloufi appelle les autorités à "un dialogue urgent pour évaluer la situation et trouver des solutions". Selon ce dernier des correspondances avec le ministère de l'Habitat n'ont pas donné de résultats concrets. L'association patronale veut que la reprise soit effective en confiant tous les chantiers aux entreprises algériennes du BTPH.
En se référant au plan d'action initié par le président de la République concernant le volet entreprises, le président de l'AGEA souhaite "des mesures concrètes dans les semaines à venir afin de ne pas revivre les effets néfastes de l'année dernière". Pour ne pas obliger les entreprises à baisser rideau, l'AGEA appelle les pouvoirs publics à "verser les dus cumulés des anciens contrats aux entreprises afin qu'elles puissent équilibrer leur trésorerie". La relance des chantiers déjà en retard de réalisation doit se faire avec toutes les mesures sanitaires de protection avec une adaptation du rythme du travail. Avec des mesures d'allègement du confinement sanitaire, l'espoir est vu comme une issue salvatrice pour un secteur qui doit nécessairement avancer, vu les attentes placés dans la réalisation de logements par milliers et autres projets d'utilité publique.
L'Association générale des entrepreneurs algériens a tiré la sonnette d'alarme sur la situation préoccupante du BTPH en Algérie. Près de 5.700 entreprises ont disparues au cours de l'année 2020 et 15.000 emplois ont été perdus. Le président de l'AGEA, Mouloud Makhloufi, a alerté les pouvoirs publics sur le site officiel de l'association sur "les risques encourus pour cette année sur toutes les entreprises et particulièrement le secteur du BTPH".
Secteur névralgique, le "bâtiment est dans le rouge" selon le responsable de cette association patronale qui déplore que "les perspectives pour l'année 2021 risquent d'être dures pour le secteur" où le plus important à ses yeux est "la sauvegarde de l'emploi car le secteur a perdu plus de 15.000 postes de travail suite à l'impact de la pandémie virale". Même avec une timide reprise durant la fin 2020, l'AGEA estime que "les pertes essuyées sont énormes" avec peu de commandes publiques sur les chantiers de réalisation. Les grosses entreprises n'ont pas beaucoup souffert après la relance mais le reste des PME qui devaient reprendre au cours de cette année sont dans une situation très difficile où elles risquent à leur tour de fermer causant une autre hémorragie sur l'emploi. Mouloud Makhloufi appelle les autorités à "un dialogue urgent pour évaluer la situation et trouver des solutions". Selon ce dernier des correspondances avec le ministère de l'Habitat n'ont pas donné de résultats concrets. L'association patronale veut que la reprise soit effective en confiant tous les chantiers aux entreprises algériennes du BTPH.
En se référant au plan d'action initié par le président de la République concernant le volet entreprises, le président de l'AGEA souhaite "des mesures concrètes dans les semaines à venir afin de ne pas revivre les effets néfastes de l'année dernière". Pour ne pas obliger les entreprises à baisser rideau, l'AGEA appelle les pouvoirs publics à "verser les dus cumulés des anciens contrats aux entreprises afin qu'elles puissent équilibrer leur trésorerie". La relance des chantiers déjà en retard de réalisation doit se faire avec toutes les mesures sanitaires de protection avec une adaptation du rythme du travail. Avec des mesures d'allègement du confinement sanitaire, l'espoir est vu comme une issue salvatrice pour un secteur qui doit nécessairement avancer, vu les attentes placés dans la réalisation de logements par milliers et autres projets d'utilité publique.
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Posté Le : 21/03/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com