Algérie

L'Afrique adopte le concept d'Un gars, une fille



L'Afrique adopte le concept d'Un gars, une fille
Canal+ International a lancé le 13 novembre un nouveau programme court et humoristique en exclusivité sur l'antenne de Canal+ en Afrique: Chéri Coco. Coproduite par Canal+ International et Trois Sept Films, Chéri Coco met en scène le quotidien d'un couple, Yvan et Marie, unis pour le meilleur et pour le pire! C'est visiblement une version africaine de la célèbre série française Un gars, une fille. Yvan est drôle, sympathique et parfois un peu macho. Marie est indépendante, séduisante, maligne... Ce tandem amoureux promet ainsi des scènes de couple improbables, explosives et drôles! Ils s'aiment, se taquinent, se disputent et se réconcilient toujours... avec complicité, humour et tendresse. À travers ce duo sympathique et aspirationnel, Chéri Coco incarne la société africaine contemporaine et met en scène les échanges francs et spontanés de la vie de couple. Chéri Coco c'est la série «couplée-décalée» où l'humour permet la rencontre de la tradition et de la modernité, pour être au plus proche des téléspectateurs. Le concept a été lancé en France. Un gars, une fille, la série française, était déjà adaptée de la télésérie québécoise du même nom, de 485 épisodes de six minutes chacun environ, diffusée entre le 11 octobre 1999 et le 16 octobre 2003 sur France 2, puis rediffusée sur plusieurs chaînes de la TNT, avec dans les rôles principaux Alexandra Lamy et Jean Dujardin. La série est l'adaptation par Isabelle Camus et Hélène Jacques de la sitcom homonyme québécoise de 1997 créée par Guy A. Lepage. Cette série raconte de manière humoristique la vie quotidienne d'un couple: Jean (alias «Loulou») et Alexandra (alias «Chouchou», souvent appelée «Alex»). Des situations des plus banales (à la maison, au salon, dans la cuisine, au téléphone, au lit, etc.) aux plus exceptionnelles (perdus sur une île déserte ou dans le Vercors, à Hong Kong, aux Seychelles, une séparation, un mariage, etc.), la vie de Jean et d'Alexandra est loin d'être un long fleuve tranquille...En Algérie on avait adapté le même concept dans la première saison de Bint oua Walad puis on a changé les noms pour ne pas ressembler à un gars, une fille et c'est devenu Bibich, Bibicha. Cette série est passée d'un sitcom avec deux comédiens à une série avec plusieurs artistes. Pour le Ramadhan, les producteurs Not found entendent revenir vers l'ancien concept en raison de l'absence de succès pour la dernière série.a[email protected]


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