Algérie

L'absentéisme sanctionné



La commission de supervision des élections législatives du 10 mai a été installée conformément aux v?ux du chef de l'Etat par le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia. Cette super commission regroupe 316 magistrats avec comme président, Slimane Boudi, qui devront superviser le bon déroulement et faire barrage à toute tentative de fraude et d'immixtion de l'administration et ne seront pas rémunérés. Tout est fin prêt pour assurer un scrutin dans la plus grande transparence. Les commissions de surveillance et de supervision seront le filtre des eaux troubles. Pour l'heure, les yeux sont braqués sur les hommes et les femmes qui s'inscrivent au tableau des candidatures. Ces futurs députés vont constituer une nouvelle législature qui, on l'espère, doit rompre avec les anciennes pratiques.Des personnes crédibles avec une formation universitaire pour donner du crédit à cette future Assemblée pour redonner confiance aux citoyens et les inciter à mettre un bulletin dans l'urne. Reconduire les mêmes têtes exaspèrent plus d'un.
Ce qu'il faut aujourd'hui, ce sont des députés qui devront s'acquitter de leur devoir et non pas voir les gains et les avantages substantiels qu'ils en retirent. Certes 300.000 DA, qui cracherait dessus ' A ce propos, le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, lors de l'installation de la commission de supervision des élections a jeté un pavé dans la mare en déclarant que le gouvernement songe à réviser la loi sur les indemnités accordées aux députés.
Une mesure qui ne s'appliquera pas en général, mais juste pour ceux qui désertent le plus clair du temps l'hémicycle pour aller gérer leurs affaires.
C'est tout dit, l'assiduité et l'absentéisme au vu d'une feuille de pointage, seront sanctionnés par des coupes dans les salaires au même titre qu'un employé qui s'absente et à qui on enlève une journée.
Les futurs députés assimilés à de simples travailleurs ' Une plaisanterie de mauvais goût. On n'y pense même pas pour ceux qui jouent des coudes et de la «chkara» pour figurer sur les listes de candidatures d'autant que les grosses pointures lorgnent sur Alger. C'est dire que rien n'a changé !
La commission de supervision des élections législatives du 10 mai a été installée conformément aux v?ux du chef de l'Etat par le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia. Cette super commission regroupe 316 magistrats avec comme président, Slimane Boudi, qui devront superviser le bon déroulement et faire barrage à toute tentative de fraude et d'immixtion de l'administration et ne seront pas rémunérés. Tout est fin prêt pour assurer un scrutin dans la plus grande transparence. Les commissions de surveillance et de supervision seront le filtre des eaux troubles. Pour l'heure, les yeux sont braqués sur les hommes et les femmes qui s'inscrivent au tableau des candidatures. Ces futurs députés vont constituer une nouvelle législature qui, on l'espère, doit rompre avec les anciennes pratiques.
Des personnes crédibles avec une formation universitaire pour donner du crédit à cette future Assemblée pour redonner confiance aux citoyens et les inciter à mettre un bulletin dans l'urne. Reconduire les mêmes têtes exaspèrent plus d'un.
Ce qu'il faut aujourd'hui, ce sont des députés qui devront s'acquitter de leur devoir et non pas voir les gains et les avantages substantiels qu'ils en retirent. Certes 300.000 DA, qui cracherait dessus ' A ce propos, le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, lors de l'installation de la commission de supervision des élections a jeté un pavé dans la mare en déclarant que le gouvernement songe à réviser la loi sur les indemnités accordées aux députés.
Une mesure qui ne s'appliquera pas en général, mais juste pour ceux qui désertent le plus clair du temps l'hémicycle pour aller gérer leurs affaires.
C'est tout dit, l'assiduité et l'absentéisme au vu d'une feuille de pointage, seront sanctionnés par des coupes dans les salaires au même titre qu'un employé qui s'absente et à qui on enlève une journée.
Les futurs députés assimilés à de simples travailleurs ' Une plaisanterie de mauvais goût. On n'y pense même pas pour ceux qui jouent des coudes et de la «chkara» pour figurer sur les listes de candidatures d'autant que les grosses pointures lorgnent sur Alger. C'est dire que rien n'a changé !


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)