Il se trouve certaines «oasis» où l'on se permet toutes les belles choses que l'on interdit aux autres, notamment dans ces contrées où l'islam est devenu non une religion, mais un moyen d'enivrer les peuples et de les contrôler. Le Qatar en fait partie et c'est là que l'un des commanditaires de la tragédie du peuple algérien, Abassi Madani, a choisi de marier son fils, Ahmed, frère d'Oussama, propriétaire de la chaîne de télévision «Al Magharibia», dans une ambiance qui est loin des plaidoiries islamistes chantées par lui ou par ses acolytes de l'ex-FIS. L'un des hôtels les plus huppés de Doha, Le Grand Hyatt, a accueilli le 26 décembre dernier quelque 650 invités qataris et algériens pour le mariage du «FIS» de Madani. Le 26 décembre ' 2012 ou 1991 ' A croire que la vie de Madani et consorts est encore suspendue à cette date de 1991 où ils ont lancé leur macabre processus contre le peuple algérien. Donc lors de cette fête au Grand Hyatt, on était loin de la modestie et de la modération que développaient les Abassi Madani et Ali Benhadj en Algérie. Bezzaâ loulou, tant que les émirs des pétromonarchies sont toujours prêts à aider tous les criminels qui ont tenté de leur rendre service en propageant leur discours de la haine dans les mosquées algériennes. D'ailleurs, le vieil islamiste perçoit un salaire mensuel de plus de 15 000 dollars de la part de ses sponsors qataris. Excusez du peu ! Et le faste lors de cette cérémonie ne s'est pas limité au coût exorbitant que cela a certainement coûté. De la musique raï qui était «la yadjouz» en Algérie à la danse du ventre, Abassi Madani et ses enfants se sont tout permis, selon certains invités «quasi traumatisés» par la contradiction de ce qu'ils ont vu avec ce que chantait Abassi en Algérie où les islamistes égorgeaient toutes les filles qui s'aventuraient sans hidjab. Bien entendu, Abassi et ses sponsors du Qatar ne pouvaient prendre le risque d'être dénoncés publiquement, et c'est pour cela que la fouille à l'entrée du majestueux hôtel était d'une rigueur inégalable. Tous les téléphones portables étaient confisqués à l'entrée du Grand Hyatt de peur que des photos ou vidéos soient prises et rendues publiques. Les services de sécurité de «son altesse» n'ont pas manqué d'être mobilisés pour la circonstance. Enfin, de quoi je me mêle ' Khelli l'bir beghtah.
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Posté Le : 12/01/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R Khazini
Source : www.infosoir.com