Algérie

Khelli l'bir beghtah L'économie du partage



Il faut parfois savoir revenir aux fondamentaux. Particulièrement dans les périodes de crises structurelles comme celles que nous traversons aujourd'hui et qui remettent directement en cause les bases mêmes de notre économie. Nous ne pourrons jamais comprendre ce que signifie économie du partage si l'on ne se demande pas d'abord ce que le mot «économie» veut vraiment dire. Je m'en tiendrai à la définition de Wikipédia qui me paraît être assez juste et inspirante. L'économie est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. Si l'on s'intéresse aux modifications structurelles que l'on doit apporter à nos économies, il faut se poser des questions telles que : comment produit-on ' Existe-t-il d'autres façons de produire ' De quelles manières sont distribués les biens et services produits ' N'existe-t-il pas d'autres voies ' Pourquoi et comment les agents économiques échangent-ils entre eux ' Pourrait-il en être autrement ' Quelle est notre manière de consommer ' Est-elle optimale ' Je me suis demandé si nous pouvions comparer point par point le modèle économique dominant issu des théories classiques avec l'économie du partage, modèle émergeant et prometteur mais qui doit encore prouver sa validité. Vraiment je me «goure» dans toute cette philosophie du partage. N'ayant pas de réponse, j'ai préféré poser ce genre d'interrogations à un économiste. Il est resté, lui aussi, ébahi. C'est probablement pour cela que la pomme de terre s'est transformée en tubercule des riches, que le lait se fait de plus en plus désirer dans les ménages et j'en passe... Enfin, de quoi je me mêle ' Khelli l'bir beghtah.


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