La chaîne tunisienne a diffusé un témoignage de l'avocat Khaled Bourayou. Il s'interroge sur le bien-fondé des poursuites en justice contre le patron de la chaîne tunisienne Nessma pour atteinte aux valeurs du sacré après la diffusion en octobre du film Persepolis, qui avait entraîné des violences d'extrémistes islamistes. Selon l'avocat, le ministère de la Culture a autorisé la diffusion du film. Selon lui, il n'y a pas lieu pour les islamistes (sans les nommer) de faire main basse sur la révolution.
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Posté Le : 25/01/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com