Algérie

Khacef veut continuer à Bordeaux



Dans une déclaration, jeudi, au site girondinsweb, le jeune international algérien, Naoufel Khacef, a exprimé le v?u de poursuivre l'aventure avec les Girondins de Bordeaux, club avec lequel il était lié par contrat jusqu'à fin juin dernier sans que le bail soit renouvelé pour cause de «conflit d'intérêts» entre plusieurs agents de footballeurs mêlés à son transfert l'hiver dernier du NAHD. «Au niveau sportif, j'ai été validé par tout le monde. Ce qui bloque ma situation avec les Girondins de Bordeaux, c'est cette action en justice», affirme l'ancien Nahdiste, «désolé» par la tournure prise par cette polémique qui gâche sa carrière. «En fait ce n'est pas terminé. Monsieur Longuépée (président des Girondins, ndlr) a dit que si une solution était trouvée avec l'agent Mehdi Aït-Ahmed concernant la plainte qu'il a déposée, je pourrais rester à Bordeaux.», assure Naoufel Khacef qui aimerait bien retourner en Gironde où il compte prouver ses qualités de footballeur.«Bien sûr que je souhaite rester avec les Girondins. C'est pour cette raison que je suis encore à Bordeaux. Je me suis bien adapté à cette ville. Je l'aime bien. Je sais que je peux apporter un grand plus aux Girondins», explique Khacef, qui saisira la justice si Mehdi Aït-Ahmed ne retire pas sa plainte. Khacef, qui dit s'entraîner avec un coach personnel, révèle qu'il a des contacts en France, mais qu'il préfère continuer avec Bordeaux.
M. B.
El-Mellali à nouveau interpellé
Le jeune attaquant algérien du SCO Angers est dans de beaux draps. Son exhibitionnisme, à la mi-mars, lui a valu une seconde garde à vue mercredi passé après une nouvelle plainte déposée par une seconde voisine. «Il s'agit, cette fois, de deux faits qui se sont produits à la mi-mars, c'est-à-dire dans la même période que ceux qui sont déjà poursuivis et qui seront traités durant l'été», a indiqué le procureur de la République d'Angers, Eric Bouillard. Visé par deux plaintes, El-Mellali doit être jugé le 25 août prochain dans le cadre d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). El-Mellali, qui a reconnu les faits risque, selon son avocate, Me Sandra Chirac-Kollarik, une peine d'un an de prison et une amende de 15 000 euros.
M. B.


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