Depuis sa création, en 2004, l?association Club Etoile de Constantine de karaté (CEC) a toujours été une véritable pépinière de champions dans cette discipline. « Pour preuve, 3 de nos anciens athlètes ont embrassé une carrière internationale en Europe, à l?image de Issam Sekai qui évolue en équipe nationale B en France, Aïssa Guedjal qui a décroché un titre en Grande- Bretagne, et Abdeldjalil Ghoul sociétaire d?un club en Belgique », affirme Driss Zoheir le DTS de l?association. Cette dernière demeure toujours sans la moindre subvention depuis son lancement, et continue d?exister grâce à la volonté de ses dirigeants et aux cotisations de ses adhérents. Avec un encadrement composé par des éléments de l?association, à l?instar de Driss Zoheir, Chérif Boukouss, Hassan Hansali, Hassan Zebiri et Riad Beghidja, pour les catégories jeunes, avec l?aide de Mostefa Bouharati et Nabil Draâ, le CEC compte parmi les plus actifs sur le plan local et même national, avec près d?une centaine d?adhérents, toutes catégories confondues, et dans les deux sexes, dont une vingtaine de joueurs ayant obtenu leur ceinture marron, alors que 28 autres ont déjà décroché la ceinture noire. « En dépit d?un manque flagrant de moyens, nous avons organisé 2 stages de formation technique, une manifestation pour tous les arts martiaux et un regroupement à l?échelle régionale pour tous les athlètes par la seule volonté des encadreurs du club et grâce à l?aide des sponsors », assure Driss Zoheir, qui revient surtout sur le déficit en équipements et le manque de salles d?entraînement adéquates. « La seule salle disponible au niveau de l?OMS du Mansourah s?avère trop exiguë pour abriter un nombre plus important de jeunes, surtout qu?on se trouve contraints de répartir les catégories en plusieurs créneaux d?entraînement, sachant qu?on se trouve parfois obligés d?accueillir une vingtaine de jeunes à la fois », ajoutera notre interlocuteur. Malgré les titres remportés individuellement et par groupe, en championnat de wilaya et sur le plan régional, en garçons comme en filles, le CEC peine encore à participer aux compétitions nationales en l?absence d?un financement important qui couvre les frais de déplacement et d?hébergement, surtout que les compétitions sont généralement organisées à Alger. « Si notre devise demeure toujours la formation à grande échelle, nous avons investi le créneau de l?arbitrage où nous comptons trois juges de niveau wilaya, dont une fille, qui ont la ferme ambition d?aller plus loin », a noté notre interlocuteur. Fort des encouragements des parents des athlètes, le CEC ne cesse de donner l?exemple d?une véritable école de karaté où l?amour du sport reste le leitmotiv pour des encadreurs bénévoles à souhait. « Le karaté, qui demeure une discipline très prisée à Constantine, est un moyen pour nous d?assurer aussi une éducation pour les jeunes et de les préserver contre les fléaux sociaux », conclura Driss Zoheir.
salam alaykom,
j'aimerai bien inscrire ma petite fille à ce club ou bien a cet association pr pratiquer le Karaté donc je vous demande de m'envoyer l'adresse et le numéro de tel svp...
dans l'attente de vous lire veuillez accepter mes sincères salutations
safia - étudiante - constantine, Algérie
27/06/2012 - 34831
merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii beaucoup
merciiii mon aussi a mon entraineur ( driss zoheir )
bouchemal adem - karaté do - constantine, Algérie
14/11/2010 - 8364
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 31/05/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : S. Arslan
Source : www.elwatan.com