Juste une critique constructive et positive à travers une vision sincère

Notre pays a subi depuis son indépendance trois périodes: La première de 1962 à 1988 où le peuple algérien n?a pas participé aux différents choix qui lui ont été imposés mais qui les a quand même applaudi sans savoir pourquoi et pour lesquels il a payé fort le prix de sa démission.La deuxième de 1988 à 1999 est celle d?une cacophonie où tout le monde faisait tout mais les algériens étaient persuadés qu?ils ne voulaient plus de cette pensée unique ni du monopole ou du totalitarisme et de ses tares;une période où les algériens voulaient plutôt des responsables neufs et nouveaux;des responsables qui n?ont pas mangé dans le creux de la main de l?appareil de l?état;pas ces spécimen du type de fils de , neveu de , beau-frère de «flen et felten» Les algériens sont convaincus qu?on peut se tromper une fois mais jamais tout le temps et encore moins tromper tout un peuple qui crie pour qu?on mette fin à la «hogra» avant qu?elle ne mette fin à toute l?Algérie.Cette période a donc prouvé que le pays avait besoin d?un sang neuf, ni contaminé ni retraité, ni régénéré .Un sang qui ne circule pas dans les veines d?une nomenklatura, ni au profit d?un clientélisme donné ; enfin un sang qui refuse le népotisme et le carriérisme.Cette période ce fut un moment de démocratie de façade que certains voulaient avec des hommes qui pendant longtemps (1962-1988 ) n?ont jamais cru ni accepté l?adversité des idées politiques, l?alternance et l?égalité des chances; des hommes qui pendant longtemps encore se sont ligués dans un système hybride un système qui mets en place la médiocratie (médiocrité) au lieu de la méritocratie (mérite).Le choix des hommes ne doit répondre ni à l?allégeance ni au lieu de naissance mais à la compétence et seulement sur cette base et rien d?autre.  La troisième période de 1999 à nos jours