Le coach Azzedine Aït Djoudi n'a pas eu sa première victoire en championnat. En 7 matchs depuis qu'il est arrivé, ce dernier n'a pas encore goûté au succès, et la défaite d'hier à Béchar est celle de trop. S'exprimant à nos confrères de la Chaîne II, Aït Djoudi a déclaré : «Je suis vraiment déçu du résultat final de la rencontre. Il faut reconnaître qu'on a bien démarré le match avec aussi un bon nombre d'occasions de but. C'est une défaite amère qu'on aurait vraiment pu éviter. On est passés à côté d'un bon résultat.»«L'arbitre a été vicieux dès le début du match»
Pour le coach kabyle, la JSK aurait aussi pu revenir au moins avec le point du match nul, n'était l'arbitrage vicieux du referee Arab qu'il accuse d'avoir été vicieux depuis l'entame de la rencontre, en distribuant des avertissements aux joueurs de la JSK : «La défaite nous fait mal, c'est vrai, mais ce qui nous fait encore plus mal c'est l'arbitrage d'Arab qui n'a vraiment pas été à la hauteur. Il a été vicieux depuis le début de la partie et profitait de la moindre occasion pour avertir mes joueurs afin de les énerver et les faire sortir du cadre du match.»
«Hammar aurait pu éviter l'expulsion»
La sortie de Ziri Hammar suite à son expulsion a complètement faussé les calculs des Kabyles. Très bien organisés jusqu'à la sortie du nouvel attaquant, les Kabyles n'ont pu continuer leur rythme en infériorité numérique. A ce propos, le technicien précise : «Mon équipe a bien entamé le match. Notre organisation a porté ses fruits jusqu'à la sortie de Hammar. Notre attaquant aurait pu éviter le deuxième carton pour contestation s'il avait fait preuve de sang froid. Sa sortie nous a pénalisés.»
«Mon contrat est déposé à la LFP et la décision de me priver du banc
est incompréhensible»
En réponse à la question de notre confrère de la Chaîne II à propos de la décision du commissaire au match qui l'a interdit de diriger le match à partir du banc, le driver de la JSK a ajouté : «Je n'ai aucune explication à donner. Moi-même je n'ai rien compris surtout que mon contrat est déposé à la LFP. La décision de me priver de diriger le match de la main courante est incompréhensible.»
«Le renforcement de l'axe devient une urgence»
Et pour clore, Aït Djoudi a reconnu que le compartiment défensif, notamment la charnière centrale, nécessite un renforcement d'urgence : «Nous avons besoin de renforcer notre défense par un axial, la venue d'un nouveau joueur cet hiver devient de plus en plus une urgence et j'espère qu'on finalisera avec ce dossier le plus rapidement possible.»
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Il n'a pas été autorisé à coacher son équipe
L'entraîneur en chef de la JSK, Azzedine Aït Djoudi, n'a pas été autorisé, par le commissaire au match, à rester sur le banc puisqu'il n'a pas encore obtenu sa licence. A chaque fois qu'il s'installait sur le banc pour coacher son équipe, il le faisait avec une dérogation et, hier, ça n'a pas été le cas. Donc, c'est son adjoint, Salem Gaci, qui a pris les choses en main et qui est resté en contact permanent avec l'entraîneur en chef.
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Posté Le : 06/01/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R A
Source : www.lebuteur.com