Selon une source autorisée, les dirigeants de la JSK sont toujours en pourparlers avec l'ex-coach du PAC Corentin Martins. Ils l'ont officiellement appelé au téléphone et ils lui ont parlé de leur projet, mais ils ne lui ont fait aucune offre financière jusqu'à hier après-midi.
Les contacts avec lui durent depuis quelques jours déjà et bien que, d'après nos informations, il n'est pas contre l'idée de prendre en main la JSK, les dirigeants ne veulent pas se précipiter dans leur choix. Le volet financier ne devrait pas poser de problème puisque celui-ci a déjà travaillé en Algérie et il sait que la plupart des entraîneurs exerçant ou ayant exercé dans notre pays perçoivent moins de 25 000 euros par mois. Les dirigeants de la JSK sont intéressés par ses services puisqu'ils sont sur ses traces depuis le mois de mai dernier, mais il semble qu'ils veulent prendre tout leur temps avant de faire leur choix. Martins avait réalisé un travail remarquable avec la sélection mauritanienne qu'il avait qualifiée à deux reprises à la phase finale de la coupe d'Afrique des nations et il avait aussi fait du bon travail avec le PAC, mais il avait mis un terme à son aventure avec le club cher aux frères Zetchi et cela pour protester contre la décision de ses dirigeants de lui imposer un adjoint. Le fait que les responsables de la JSK soient en contact permanent avec lui et qu'ils lui ont parlé de leur projet, cela prouve qu'ils tiennent à lui, sinon ils auraient écarté sa piste pour pouvoir explorer d'autres. Ils ont établi dès les premiers jours de leur installation une short-liste qui comporte 4 noms dont ceux de Velud et Martins, mais d'après notre source, c'est Martins qui est en pole-position et c'est avec lui que la direction est en contact permanent.
Le temps presse
Pour ne pas perturber leur équipe qui a encore 3 matches à jouer, les dirigeants préfèrent attendre encore quelques jours avant de régler la question de l'entraîneur. Le recrutement d'un coach capable de mener l'équipe à bon port était l'une de leurs priorités, mais en raison de tout ce qui s'est passé après le nul concédé devant le CSC, les dirigeants ont préféré patienter avant de prendre une décision définitive. Le président Ould- Ali El-Hadi avait affirmé dès son installation à la tête du conseil d'administration le 23 avril dernier que sa priorité est d'engager un coach de renom, une déclaration qui n'avait pas plu à l'entraîneur intérimaire Djilali Bahloul. Ce dernier lui avait répliqué d'abord que lui aussi n'est pas un petit entraîneur et c'est la première fois qu'il a accepté de travailler en tant qu'adjoint avant d'annoncer quelques jours plus tard que si les dirigeants veulent un grand entraîneur
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Posté Le : 04/06/2024
Posté par : presse-algerie
Source : www.competition.dz